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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Casting ( 4ème partie )
Pendant que son pouce lui fouille le cul, un à un, il introduit ses quatre autres doigts dans sa chatte gluante. Elle est prise par les deux trous, le ventre saisi par la brûlante tenaille de la main qui lui prend les tripes, lui caresse la matrice, lui affole le rectum. Elle entend distinctement le clapotis des doigts qui s’agitent en elle, les bruits mouillés de leur danse. Elle ne veut pas jouir encore, alors elle se retient de soupirer d’aise et d’onduler du bassin.
Mais voilà que soudain la main se retire, la laissant béante et désemparée. Elle se devine ouverte aux regards les plus indiscrets. Peut-être voit-il dans les profondeurs obscures de son cul luire les parois huileuses de ses entrailles ?
Alors qu’elle se referme lentement, la main revient à la charge. Elle lui paraît plus onctueuse, comme enduite de graisse. Le pouce reprend possession de son cul qui s’ouvre presque naturellement. Il l’encule méthodiquement, avec son pouce qui joue à la petite bite inlassable. Elle s’offre en sourdine un premier orgasme poisseux qui lui inonde la chatte. Quand il la sent bien dilatée, il retire son pouce et l’attaque des quatre autres doigts réunis en faisceau. La pénétration est plus lente, un peu douloureuse. Pour mieux s’enfoncer, il tourne son poignet, comme s’il voulait visser sa main entre les fesses ouvertes. L’une après l’autre, les trois phalanges sont avalées par la bouche démesurée de son anus. Les sensations sont extrêmes. C’est son premier fist anal, celui dont elle rêvait depuis des nuits.
Elle n’en a pas fini. Elle sent le pouce forcer le passage pour se joindre aux autres doigts. Elle a peur que son périnée se fissure, que son cul se déchire… Elle voudrait pleurer, crier sa souffrance, mais aucune larme ne perle à ses paupières, aucune plainte ne monte de sa gorge nouée d’angoisse…
La main de l’homme est en elle, énorme, indécente, et terriblement bonne… Elle jouit.
- Alors, tu es sélectionnée ? lui demande son mari alors qu’elle se rhabille.
- Je ne sais pas, il m’a demandé de revenir dans une semaine pour une deuxième séance…
FIN
© Michel Koppera, janvier 2010
Voilà, c'est terminé, ça vous a plu ?
La photo illustrant votre texte me met dans un tel émoi que je regrette que ce ne soit pas mon cul qui soit ainsi pénétré.