Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Chris, chapitre 4
Ils se serrèrent l’un contre l’autre, à une minuscule table ronde, tout au fond de la bodega, dans une encoignure à peine éclairée. On leur servit, sur de petites assiettes blanches, des tentacules de poulpe macérés dans l’huile pimentée et des tranches de jambon fumé si fines qu’elles en paraissaient improbables ; entre chaque bouchée, il s’envoyaient des rasades de xérès.
- Je viens juste de rentrer du Brésil, racontait Angel. À Belém, j’ai vu les plus belles femmes du monde. Dans trois semaines, je repars pour l’Afrique du Sud… Et toi, tes voyages ?
Chris se sentait ridicule : son séjour à Santander n’était que sa deuxième sortie de France. Elle n’avait rien à dire, elle connaissait à peine Paris !
Pendant qu’il lui parlait des singes hurleurs d’Amazonie, des gigantesques ponts suspendus des Etats-Unis, de la puanteur grouillante des marchés d’Alexandrie, sa main poursuivait sa reptation dans les coulisses du jean de Chris. En lentes circonvolutions, il lui avait longuement caressé le nombril, là où poussaient déjà quelques poils très courts dont elle découvrit pour la première fois l’étonnante sensualité… Soudain, les doigts d’Angel plongèrent dans l’exiguïté de son pantalon, directement au fond de son slip, fouillant entre les poils, écartant les nymphes poisseuses, barattant sa mouillure épaisse. Puis, remontant la fente, son index entama, avec une affolante dextérité, une sorte de danse rituelle autour du clitoris, sans le toucher… Chris était complètement sous influence, comme hypnotisée par le manège du doigt magique. On ne l’avait jamais branlée ainsi. Elle-même, qui se branlait plus souvent qu’à son tour, ne s’était jamais branlée comme ça. Des tremblements convulsifs lui secouaient le bassin, une sorte de hoquet du bas-ventre. Ça coulait de son vagin, une source chaude et continue, comme le sang de ses règles. Au cinquième verre de xérès, Chris eut un orgasme à lui broyer le col de l’utérus. Elle eut presque honte de la violence de son plaisir.
- Je suis vraiment désolée. Si je peux faire quelque chose pour toi, n’hésite pas…
- As-tu déjà goûté au chocolat ?
- Bien sûr. Quelle question !
- Alors, on va en acheter. Je connais quelqu’un…
Angel entraîna Chris vers le quartier du port.
Une heure plus tard, Chris observait avec un rien d’appréhension les doigts d’Angel en train de confectionner deux pétards : un double pour lui-même, un petit pour Chris qui n’avait jamais fumé.
- Quand je pense que je croyais qu’on allait acheter du chocolat au lait ! dit-elle confuse. Tu dois vraiment me prendre pour une idiote !
- Ce n’est pas grave, et ne sois pas inquiète, je suis là.
Ils étaient assis sur le sable, dans l’ombre d’une estacade de bois qui s’avançait au-dessus des eaux calmes de la baie. Il n’y avait aucun souffle de vent ; la lune presque pleine luisait sur le miroir immobile des flots. Derrière eux, la ville était maintenant plongée dans la torpeur du sommeil.
Après trois bouffées, une douce langueur s’empara du corps de Chris et elle fut saisie de tendresse pour son compagnon de fortune. Allongé sur le dos, les yeux dans les étoiles, Angel fumait son gros pétard. Alors Chris fit ce qu’elle n’avait jamais osé faire : elle posa sa main sur la braguette d’Angel, elle déboucla son ceinturon, défit un à un les boutons de son pantalon de toile. Il bandait déjà. À travers le coton léger de son caleçon, elle caressa son membre raide… Il fumait toujours, un bras passé sous la nuque, les yeux au ciel. D’une petite ondulation du bassin, il l’encouragea à poursuivre. Chris souleva le tissu et la bite d’Angel bondit hors de sa tanière, avec ses couilles velues, sa toison sombre, son gland tout nu. Il était chaud et vibrant entre les doigts de Chris. Elle en approcha son visage, y posa ses lèvres humides, s’enfonça lentement la bite dans la bouche jusqu’à la luette. Elle lui trouva d’abord un avant-goût salé, puis bientôt d’autres saveurs plus épicées. Sa langue s’enroulait autour de la base du gland, lui titillait le méat, puis le léchait jusqu’aux couilles, méthodiquement. Les doigts de Chris fouillèrent plus loin encore, dans le taillis de l’entrefesses d’Angel, à la recherche du trou de son cul. Quand elle l’eut trouvé, elle le pressa longuement de l’index et du majeur réunis, jusqu’à ce qu’il s’ouvre et se laisse pénétrer. Allongé sur le sable tiède, la tête dans les étoiles, l’esprit embrumé de vapeurs de shit, la bite sucée par une femme amoureuse et tendre, le cul investi par deux doigts de la suceuse, Angel s’abandonna au plaisir et lâcha ses bordées de sperme dans la bouche de Chris. Elle n’eut pas besoin de se faire violence pour avaler le tout.
à suivre...
Une bordée d'un seul canon, c'est un peu ridicule, quand on y pense...