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Chris, chapitre 9
Quand elle se réveilla, il faisait nuit noire. La flamme de la lampe avait dû s’éteindre d’elle-même. Quelle heure pouvait-il être ? Elle ne réalisa pas tout d’abord ce qu’elle tenait dans sa main droite. C’était très gros, chaud et plein de vie. Ce ne fut qu’au contact des poils qu’elle comprit qu’elle avait la main dans le bermuda de Tristan et qu’elle empoignait fermement sa bite en érection. Dormait-il ? Impossible de le savoir : le tapage du cyclone couvrait tous les autres bruits…
Sa première intention fut de retirer sa main, mais une sorte de volonté venue de son ventre lui intima de n’en rien faire, si bien qu’elle se mit à branler doucement le membre du créole, une queue d’une taille comme elle n’en avait jamais vu qu’en rêve.
Comme Tristan ne bougeait toujours pas et que sa bite ne débandait pas, bien au contraire, Chris s’enhardit. Avec précaution, elle descendit la ceinture du bermuda jusqu’à dégager en totalité la bite et les couilles puis, se penchant sur le côté, elle posa délicatement sa tête sur le ventre de Tristan, doux et mou comme un édredon. La tête du gland était devant ses lèvres ; sans la voir, elle humait son odeur âcre, un peu rance… Cependant, elle la goba avec autorité. La bite lui emplissait la bouche, forçant même un peu les commissures des lèvres. Non, jamais elle n’aurait imaginé sucer un jour une si grosse bite !
Bientôt, le désir de baiser mouilla son ventre. Tout en le maintenant en bouche, elle réfléchit à ce qu’elle allait faire : ôter son slip, enjamber le corps de Tristan de façon à se retrouver accroupie, le ventre ouvert, au-dessus de sa bite, puis se l’enfiler en douceur… Tout se déroula comme prévu.
- Oh, mon Dieu ! pensa-t-elle dans la tourmente. Qu’il est gros !
Lorsqu’il lui saisit la taille des deux mains pour la faire coulisser verticalement sur sa queue dressée, Chris n’eut plus aucun doute sur le réveil de Tristan. D’ailleurs, avait-il jamais dormi ? N’était-ce pas lui qui avait lui-même saisi la main de Chris pour la glisser dans son bermuda ? Mais le temps n’était plus aux questions inutiles. Le temps était au plaisir. Quand la bite la pénétrait tout entière, elle avait l’impression que son vagin allait éclater, mais cette perspective ne lui inspirait aucune crainte. Cette butée au fond de son con, sous le col de l’utérus, caressait des muqueuses jusque là inaccessibles, pressait sa vessie, secouait délicieusement ses ovaires, ses intestins même. Elle pouvait gémir sans retenue : tout était noyé dans le hurlement du vent et les coups de fouet de la pluie qui zébrait la nuit.
Chris jouit une première fois en se mordant les lèvres jusqu’au sang pour ne pas crier. De tous les pores de sa matrice, jaillirent des sources chaudes et elle se contracta si violemment qu’elle en eut une crampe au mollet. Puis, à peine remise de son orgasme, elle jouit une seconde fois quand Tristan lui éjacula dans le con. Comment son vagin s’était-il encore élargi pour se remplir de sperme ? La violence des giclées la fit s’effondrer en avant, tout contre le buste de Tristan. Elle embrassa les poils mouillés de son torse, suçota les tétons de ses seins gras et doux comme ceux d’une femme, lécha la sueur qui coulait dans son cou… Elle était si heureuse que, pendant de longues minutes, elle n’entendit plus ni le vent, ni la pluie…
à suivre...
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