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COVOITURAGE
Cette petite nouvelle sans prétention a été inspirée par une correspondante dont j’ai voulu satisfaire un de ses nombreux fantasmes routiers.
Première partie
L’an dernier, début novembre, comme je devais rejoindre ma femme au Maroc avec le camping-car pour passer l’hiver sous des cieux plus cléments, ma belle-sœur Josette m’a demandé si elle pouvait faire un bout de route avec moi, jusqu’à Bayonne où elle devait passer quelques jours chez sa fille et son gendre. Bien entendu, j’ai accepté, non pour alléger un peu la facture de carburant, mais surtout pour avoir de la compagnie sur l’autoroute.
Josette a 45 ans ; elle est mariée et mère de trois enfants déjà grands. On se rencontre plusieurs fois l’an pour les anniversaires et autres fêtes familiales. Josette est très brune, plutôt petite et potelée, et toujours d’humeur joviale.
Un lundi matin, on a quitté Paris sous la pluie qui nous a accompagnés jusqu’à Niort. Malgré le temps maussade, Josette était vêtue d’une jupe plutôt courte et d’un léger corsage largement échancré. Comme je m’étonnais de sa tenue, elle me dit :
- J’ai consulté la météo, le soleil ne devrait pas tarder et dans le sud, il fait plus de 20 degrés.
Effectivement, le ciel s’éclaircit et les nuages finirent par se dissiper complètement. À chaque fois qu’on dépassait une voiture, Josette jetait un œil sur le côté, dans l’habitacle du véhicule en contrebas.
- Michel, est-ce que tu sais que d’en haut, on voit des choses très intéressantes ?
- Quoi, par exemple ?
- Des trucs pas croyables, comme des passagères sans culotte, ou des gens qui se caressent sur la banquette arrière… J’en ai même vu deux qui se suçaient !
Je l’ai regardée intensément, enfin aussi intensément que me le permettait la plus élémentaire prudence. Elle était assise à mes côtés, très sérieuse, mais la jupe remontée si haut sur les cuisses que je pouvais voir sa culotte blanche et même quelques poils sombres qui dépassaient sur les bords. Elle avait les jambes un peu écartées, la bouche entrouverte…
Plus on roulait vers le sud, plus sa jupe remontait sur ses hanches. Quand on est arrivés dans les interminables bouchons du périphérique bordelais, on peut dire que Josette était quasiment en petite culotte. Maintenant, j’avais sous les yeux et à portée de main son ventre à peine vêtu d’un slip blanc d’où débordait par le haut et sur les côtés sa touffe très fournie. La culotte en était comme matelassée, lui donnant l’aspect d’un petit coussin molletonné. Mais je n’étais pas le seul à profiter du spectacle. Dans l’embouteillage, les chauffeurs routiers n’en perdaient pas une miette. Josette se prêtait volontiers aux invitations gestuelles des voyeurs. Elle avait déboutonné son corsage et en avait sorti le sein gauche dont elle s’excitait le mamelon. Les jambes très écartées, le pied gauche sur le tableau de bord, le droit sur l’accoudoir de la portière, elle s’exhibait avec obscénité. Pendant près d’un quart d’heure, nous sommes restés à la même hauteur qu’un semi-remorque belge dont le jeune chauffeur semblait fasciné par le spectacle de l’entrecuisse de Josette. Tout en ne le quittant pas des yeux, elle se caressait lubriquement les seins et le ventre. Moi, je bandais sérieusement et à chaque arrêt dans le bouchon, je lâchais le levier de vitesse pour poser la main sur sa cuisse gauche, au plus près de sa fourche velue.
Mais alors que Josette était au bord d’un orgasme spontané, le routier belge emprunta la bretelle d’accès de l’autoroute vers Toulouse.
- Dommage ! soupira Josette. Je m’amusais bien, pas toi ?
à suivre…
© Michel Koppera, août 2013
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