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Voilà maintenant plus de vingt jours que tu es tombée entre mes griffes. Je suis Monsieur K.
Souviens-toi. Je t'ai rencontrée au vernissage de ce graphiste porno-chic dans une galerie branchée, non loin du
Jardin des Plantes. Je t'ai vite repérée, un peu à l'écart, comme perdue dans la foule des courtisans. Ton cocktail à la main, immobile devant un tableau aux dimensions monumentales, tu
tentais de te donner une contenance. Je t'ai abordée. Au premier regard, j'ai su que tu serais ma chose, ma proie, sans doute à cette façon si particulière que tu as de détourner les yeux tout en
offrant ton corps. Ce soir-là, tu n'as presque rien dit, rien que ton nom "Crissie" qui m'a griffé le coeur. Je t'ai parlé, tu m'as écouté, et lorsque tard dans la nuit, je t'ai dit :
"On y va !", tu m'as suivi, docilement, naturellement...
Je t'ai installée dans la chambre d'amis. C'est là que depuis plus de deux semaines, tu passes le plus clair de ton temps
seule, à lire et relire "La nouvelle Justine" de Sade, à regarder en boucle " Chambre sur cour" de Hitchcock. Je te soupçonne, en secret, de lire un autre livre et de regarder un autre film,
mais je ne suis pas encore parvenu à en percer le mystère. Tu pourrais t'enfuir, la porte n'est jamais fermée à clef, même quand je m'absente pour la journée entière, pourtant tu restes là, à
transcrire sur un carnet rouge le récit de notre aventure.
Ce soir, pour la première fois, tu es venue me rejoindre au salon, à peine vêtue d'un peignoir de soie bleu pâle qui dérobe à
mes regards ta lingerie intime. Que portes-tu ? Tu as pris place dans un des fauteuils de cuir, face à moi, et tu attends, silencieuse...
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