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"Crissie et Monsieur K." Chapitre 5 a
- Misérable petite garce ! Je vais t’apprendre, moi, à entrer en cachette dans ma chambre et à fouiner dans mes affaires ! Et moi qui te faisais confiance ! Allonge-toi, sur le dos, les bras en croix, les jambes écartées. Maintenant, plus question d’aller comme tu veux, quand tu veux ! Il faudra me demander l’autorisation.
Crissie se laisse attacher les poignets et les chevilles aux barreaux du lit. C’est à peine si elle tente une vague résistance. Son apparente docilité a le don de m’énerver.
- Tu as vu le gode de la photo ? Je vais te l’enfiler dans le con, pas plus tard que maintenant. Et pour pas faire de jaloux, je vais t’en mettre un autre à peine plus petit dans le cul. Comme ça, tu auras déjà un avant-goût de ce qui t’attend demain soir. Ma parole, tu mouilles ! Mais bordel, qui es-tu ? Tu ne vas me faire croire que tu aimes ça !
Je lui enfonce jusqu’à la garde le gode de latex dans le vagin, il doit venir buter contre le col de l’utérus. L’autre a plus de mal à se frayer un chemin entre ses fesses pourtant bien ouvertes. Mais à force de persuasion, il finit par trouver l’entrée et lui pénètre lentement le rectum. Une fois les deux engins bien calés dans son ventre, je tourne les mollettes des vibrateurs. Crissie ouvre grand la bouche, mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle me regarde, l’air hébété, les joues en feu, les cheveux collés aux tempes, les tétons durs comme des grains de café, les pieds cambrés de plaisir, le corps agité d’un frémissement continu.
Je la délaisse quelques instants pour fouiller son sac à main et ouvrir les tiroirs de la table de chevet :
- Qu’est-ce que tu caches là-dedans ?
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