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"Crissie et Monsieur K." Chapitre 7 a
Rien qu’à tes yeux qui évitent les miens, je sais que tu m’as désobéi. Mais l’heure n’est ni à la punition, ni à la vengeance, même si tu ne perds rien pour attendre. Présentement, j’ai d’autres projets.
Comme le soleil de mai inonde les rues, je t’emmène déjeuner en terrasse dans une brasserie du quartier. Le brouhaha de la ville nous dispense de toute conversation. Je surprends les regards des passants posés sur tes jambes nues, croisées haut. Indifférente, tu manges de bon appétit.
Ensuite, je t’accompagne à l’institut de beauté où je t’ai pris un rendez-vous. Je te confie aux soins experts d’une esthéticienne plantureuse prénommée Sonia, comme l’indique la broderie rose parme de sa blouse blanche. Je patiente plus d’une heure en feuilletant des magazines de mode. Lorsque tu réapparais, toute pimpante, le rose de tes joues trahit un léger trouble. Tu me souris.
- Je suis prête ! annonces-tu d’une voix claire, presque trop joyeuse.
L’après-midi se prolonge dans les rayons lingerie d’un grand magasin. Tu passes de longs moments dans les cabines d’essayage à enfiler petites culottes de soie, strings de dentelle blanche, soutien-gorge pigeonnants, guêpières, nuisettes, porte-jarretelles et autres frivolités textiles. Je te choisis les tenues les plus impudiques. Je te veux putain de la tête aux pieds !
Enfin, à l’heure de sortie des mâles des bureaux, je t’entraîne dans une de ces rues étroites où fleurissent les sex-shops. Tu me tiens par la main comme une enfant qui a peur de se perdre. On entre dans une de ces boutiques. J’échange quelques mots avec le patron qui nous fait signe de le suivre dans un escalier qui mène au sous-sol. Il ouvre une porte, t’invite à entrer. Tu obéis. Il referme la porte derrière toi. Te voilà seule dans une petite pièce circulaire, sans autre meuble qu’un tabouret posé au centre. Aux murs, à une cinquantaine de centimètres du sol, une douzaine de hublots aux vitres sans tain qui te renvoient l’image de tes jambes nues. Tu es dans un peep-show et tu es le spectacle de cette fin d’après-midi…
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