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D.H LAWRENCE, L’amant de Lady Chatterley (1928)
« L’homme observait cette superbe courbe des hanches qui, ce jour-là, le fascinait. Quelle superbe chute de hanches ! Comme elle s’évasait sur la lourde rondeur des fesses ! Et au milieu, enveloppées dans la chaleur secrète, les entrées secrètes.
Il lui caressa le cul, longuement, épousant longuement et subtilement les courbes et la plénitude des globes.
- T’as un si beau cul, dit-il avec l’accent guttural et caressant du patois. Y’en a pas deux pour en en avoir d’aussi beau. C’est le plus beau cul d’femme du monde. Un vrai cul d’femme, y a pas à s’tromper. Pas un d’ces culs en noyau d’pêche qu’ont ces filles qu’on prendrait pour des gars ! Ton cul, l’est bien arrondi, le genre de cul qui plaît aux hommes, qui les prend aux tripes ! Un derrière à faire bander la terre entière !
Tandis qu’il parlait, sa caresse effleurait les rondeurs qui, au bout d’un moment, communiquèrent à ses mains une sorte de feu liquide. Et le bout de ses doigts toucha les deux ouvertures secrètes de ce corps, tout à tout, en un doux effleurement de flamme.
- Et que tu chies ou que tu pisses, je m’en réjouis. Je n’ai rien à faire d’une femme qui ne peut ni chier ni pisser.
Connie ne put réprimer un brusque éclat de rire stupéfait, mais il continuait, imperturbable :
- Toi, t’es vraie, t’es vraie, même un peu salope. C’est par ici que tu chies, et ici qu’tu pisses. J’les ai tous les deux en main, et c’est pour ça qu’tu m’plais »
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