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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Danièle Thompson : "La femme de l'amant", roman (248 pages) paru en 1994 aux Editions Grasset & Fasquelle
Dans cette histoire en miroir d'adultères sur le schéma classique du mari quinquagénaire qui tombe sous le charme d'une jeunette, on est plongé dans la faune bobo des beaux quartiers parisiens. On travaille chez des galiéristes ou dans des multinationales, on passe le week-end à Venise ou à La Baule... On pourrait se croire dans un film de Claude Sautet qui aurait pour titre : " Cécile, Laetitia, Ferdinand, Vladimir, Philomène et les autres..."
Extrait pages 147-148. Philomène avec son amant
" Encore trois étages. C'est trop haut, trop long. Philomène s'arrête, serrre les cuisses sur la main épaisse et chaude qu'il vient de glisser sous sa minijupe de velours. Elle sourit. Elle attend l'autre main. Son sein gauche est extirpé de sa chemise. Elle n'a pas mis de soutien-gorge ce soir. Pas de collant. Exprès. Elle feint de vouloir monter quelques marches. Les mains la suivent, la poussent, doigts qui s'accrochent et descendent la culotte, puis Vladimir la plaque contre le mur rugueux de l'escalier de service, la retourne, plonge dans les mamelons qu'il gonfle en les poussant vers sa bouche. Philomène fouille le tweed et la laine jusqu'à la peau, pour l'embrasser, la respirer. Au sixième étage elle est presque nue. Ils rient en essayant de trouver la serrure. Il l'entraîne à l'intérieur. La porte du studio claque derrière eux. Ce qui reste de vêtements est arraché, jeté alentour. Tout ne semble qu'amas sous la lumière douce et contrastée des rayons de lune : tissu froissé, linge en boule, autour du couple enchevêtré contre le mur. Ils roulent à terre dans un râle, s'immobilisent enfin. À bout de souffle. Longtemps."
mais, ne trouvant pas de repère où m'attacher, cela me semble lointain...
Charmant; érotique, mais lointain...