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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Devant l’ordi…
Avant de regarder les photos qui accompagnent cet article, prenez le temps s’il vous plaît de lire le texte qui suit : il est extrait de l’ouvrage « Le secret des femmes », paru aux édtions Odile Jacob en 2010 et écrit par Elisa Brune et Yves Ferroul
Les paradoxes de l’excitation, pages 83-84
« Lorsqu’on soumet des hommes et des femmes à des stimuli pornographiques, les réponses physiologiques sont équivalentes en rapidité et en intensité (mesurée par l’augmentation du débit sanguin dans les organes génitaux qui lui-même induit la lubrification chez la femme). À cette différence près que les femmes déclarent souvent ne ressentir aucune excitation (là où les hommes sont parfaitement conscients de ce qui se passe).
Plus fort, lorsqu’on teste les stimuli en différentes catégories (hétéro, homo, multiple, hard, soft), on constate que les hommes présentent une réponse sélective ( ils bandent à la vision de leur activité de prédilection et pas pour le reste), alors que les femmes sont excitées de façon égale pour tous les stimuli (toujours en ne disant ne rien ressentir). Elles déclarent être davantage excitées par des images de porno soft, centrées sur la femme, mais au niveau du vagin, les mesures sont identiques dans tous les cas, comme le montrent les études menées par Meredith Chivers en 2004 à Toronto. Les femmes répondent même aux images de sexualité animale, alors que les hommes restent de marbre. Pourquoi les femmes mouillent-elles devant des bonobos qui forniquent ? Cette vasocongestion réflexe pourrait être le résultat d’une adaptation évolutive qui rend la femelle apte au coït plus rapidement, c’est-à-dire instinctivement à la moindre alerte, et la protège des blessures en cas de sollicitation brutale. On a déjà constaté des vagins lubrifiés lors de viols, ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il y avait consentement ou plaisir. La paroi vaginale répond du tac au tac lorsqu’on a besoin d’elle, quel que soit le scénario. »
Et maintenant, place aux images !