Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Comme promis, voici le quatrième chapitre de la nouvelle rédigé à partir de vos propositions ( Rappel : les illustrations ne sont pas "contractuelles")
Déviations # 4
Bien que plus jeune que Solange Gautier, sa sœur Myriam a l’air tout aussi austère. Néanmoins, elle accueille Simon avec chaleur. Elle a la même chevelure et le même regard sombre que sa sœur, mais la silhouette est plus fine et la voix plus ferme.
Alors qu’ils sont tous les trois installés au salon pour prendre l’apéritif et que Simon raconte une nouvelle fois sa mésaventure, il surprend entre les deux sœurs des regards de connivence et aussi quelques discrets chuchotements…
C’est au moment de passer à table que Simon ressent les premiers signes d’une grande fatigue : comme un étourdissement, avec le sol qui se dérobe, les paupières qui se ferment malgré lui. Il titube, balbutie encore quelques mots d’excuse puis sombre lourdement dans des ténèbres comateuses.
Quand Simon reprend ses esprits, la première chose qu’il remarque c’est qu’il n’est plus dans le salon, mais dans une petite pièce bien chauffée, faiblement éclairée et sans fenêtre. Il est couché sur le dos, étendu à plat sur une sorte de haute table matelassée semblable à celles où les médecins font allonger leurs patients pour les ausculter. Ce n’est qu’au moment où il veut se passer la main dans les cheveux que Simon réalise qu’il est attaché. Et pas seulement par les poignets, mais aussi par les chevilles. En relevant un peu la tête, il constate qu’il ne porte plus aucun vêtement.
Il regarde autour de lui, comme pour y trouver un début d’explication : une porte close, des murs tendus de tissu, avec juste un grand miroir en face ; dans un coin, une sorte de chariot d’hôpital où sont posés des flacons, des objets métalliques dont il ignore l’usage. Il n’a pas le temps d’avoir peur car voilà que la porte s’ouvre et qu’entrent les deux sœurs.
Il peine à les reconnaître tant elle se sont métamorphosées. Solange a abandonné sa robe noire pour une tenue plus légère : un déshabillé et des bottes de cuir rouge sang. Rien d’autre. Le tissu transparent laisse voir ses seins lourds, ses cuisses épaisses et son ventre poilu. Myriam est vêtue de sa blouse blanche d’infirmière. Mais Simon devine aussitôt que là-dessous elle ne porte rien.
Elles s’approchent, sourire aux lèvres…
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