Elisabeth et les cinq sens.
1 : la vue
Les lumières de la nuit de novembre
Embrasent ta chatte aux couleurs d’automne ;
Ton corps nu, alangui dans la chambre,
Ensoleille mon sommeil de pensées polissonnes.
Dans le triangle isocèle de ta touffe poilue
Je me rêve grand maître de géométrie,
Traçant des lignes de ma bite tendue,
Semant mon foutre sur ta fente de tendresse pétrie.
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