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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
A la vue de ce dessin, m’est revenu un souvenir d’enfance. J’avais 14 ans, elle en avait 13 ; elle se prénommait Sylviane. C’était un chaud après-midi d’été, tout près d’un terrain de foot où jouaient ses petits frères (elle en avait 3) et le mien en compagnie d’autres gamins du village.
Nous étions allongés à plat ventre dans les hautes herbes, pas côte à côte mais elle devant et moi un peu en retrait, à environ deux mètres d’elle. Nous lisions, moi « L’île au trésor » de Stevenson, elle je ne sais plus quoi. Sylviane portait une courte robe de cotonnade en vichy rose. Et, à travers les hautes herbes, je jouissais d’une vue imprenable sur ses cuisses nues sous sa robe, sur sa petite culotte blanche à l’élastique un peu lâche, sur son sexe fendu et bordé de rares poils châtains. De temps en temps, on échangeait quelques mots innocents, des trucs de gamins… À l’époque, je me souviens que j’étais persuadé qu’elle ignorait que je pouvais voir son ventre ouvert. Aujourd’hui, je suis beaucoup moins catégorique et je suis presque sûr qu’elle savait très bien que je la regardais et c’était sans doute pour cela qu’elle ne changeait pas de position, sauf peut-être pour se cambrer légèrement afin de s’ouvrir davantage.
Je me souviens que bientôt, je cessai totalement de faire semblant de lire pour me consacrer à la contemplation de son sexe. Tant et si bien que je bandais à tout rompre et que je finis par jouir dans mon short trop étroit pour mon désir.
À ce jour (soit plus de 45 ans après), je n’ai jamais réussi à lire « L’île au trésor » car à chaque tentative, l’image du sexe de Lolita de Sylviane me revient en mémoire et m’empêche d’aller au-delà des premiers chapitres.
Oui, les pages lingerie du catalogue de la Redoute étaient en effet "redoutables", tout comme certaines images de romans-photos d'origine italienne où les femmes brunes y étaient très chaudes
Caty
Une diée à creuser, mais qui demandera sans doute de longues recherches avant de prendre corps