Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le saviez-vous ? Le 21 octobre est la journée internationale du fist-fucking
2. Le fist lesbien
D'abord cantonné à la communauté gay SM, le fist-fucking s'est rapidement répandu dans les relations lesbiennes. Ainsi Cynthia Slater, amante bisexuelle de Steve McEachern, le patron des Catacombes, fut la première femme à y organiser des soirées entre femmes.
Si le fist vaginal reste une pratique plutôt marginale chez les couples hétérosexuels, il est plus courant chez les couples de lesbiennes. En effet, le fist vaginal permet une lente et douce exploration de toutes les zones sensibles du vagin, exploration facilitée par la plus petite taille des mains féminines qui permet souvent une pénétration complète de la main de la fisteuse dans le vagin de sa partenaire. De fait, les lesbiennes ont en général une meilleure connaissance des mécanismes du plaisir féminin.
Personnellement, je me souviens très bien de la première fois où j'ai vu une scène de fist lesbien. C'était en 1987, dans un cinéma du centre-ville qui projetait des films X en fin de soirée (les films étaient programmés vers 23h30). Le public était essentiellement masculin, du genre furtif. J'ai oublié le titre du film – sans doute une histoire de bourgeoises qui s'encanaillent – par contre je n'oublierai jamais une scène où une jeune femme se faisait fister par une partenaire d'un soir. D'habitude, les scènes de lesbianisme, passage quasi obligé des films X, se limitaient à des échanges de baisers à pleine bouche, de caresses sur les seins et la chatte, de suçages de tétons et de cunnilingus en bouquet final... Le tout sur musique mielleuse avec force violons et piano. Mais ce soir-là, j'ai assisté à un plan séquence, sans musique, juste ponctué par les soupirs et les gémissements de la fistée et le chuintement mouillé de la main qui la pénétrait au plus profond. Ce spectacle a provoqué chez moi une érection instantanée et le désir que cette scène n'aie pas de fin ou qu'elle passe en boucle...
Ci-dessous quelques dessins de fist lesbien, plus difficiles à trouver que je ne le pensais
Aucun commentaire pour cet article
Derniers Commentaires