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« Femme à la fenêtre » (1925), par Salvador Dali, Musée national de la Reine Sofia, Madrid ;
Le titre du tableau varie au gré des sites : « Femme ou jeune fille à la fenêtre ». La jeune femme en question serait une certaine Anna Maria dont Dali fut à l’époque très épris. Aujourd’hui, au vu de sa croupe généreuse, je lui prêterais volontiers les traits de Carmen Maura, l’actrice fétiche d’Almodovar.
La fenêtre s’ouvre sur une anse où paresse un voilier. La pièce est sobre, sans doute une chambre au sol de parquet. On devine la femme nue sous sa robe dont le tissu léger et soyeux épouse discrètement les rotondités et esquisse la raie des fesses. Malgré son visage tourné vers le dehors, on la devine attentive à ce qui se passe dans son dos, à la présence de l’amant qui va s’approcher à pas lents et poser ses mains sur ses hanches. Il remontera sa robe haut jusqu’à sa taille, livrant à son regard concupiscent la blancheur laiteuse de ses fesses nues. Alors, elle écartera un peu les cuisses pour que sa main empaume son sexe moite.
Ils baiseront ainsi, dans l’embrasure de la fenêtre grande ouverte sur la sérénité de la mer.
Il est triste et en même temps portant un message de liberté vue par une fenêtre ouverte sur le monde.
C'est vrai qu'on peut ressentir une certaine tristesse en le voyant. Moi, ça me fait toujours quelque chose de penser que cette femme aimée est aujourd'hui morte et sans doute oubliée de tous
Non, cette femme jadis aimée n'est pas oubliée : elle vit encore dans chacun de nos regards.
je n'en attendais pas moins de vous