Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Jadis et naguère : Frida KAHLO
Magdalena Frida Carmen KAHLO CALDERÓN est née le 6 juillet 1907 à Coyoacán au Mexique et décédée le 13 juillet 1954 dans la même ville. Atteinte à 8 ans de la poliomyélite, sa croissance sera perturbée, ce qui lui vaudra le surnom de « Frida l’estropiée ». Alors qu’elle est étudiante à Mexico pour devenir médecin, elle est victime en septembre 1925 d’un accident d’autobus où elle est très grièvement blessée ( 11 fractures de la jambe droite, pied brisé, abdomen et cavité pelvienne transpercés par une barre de métal, bassin et colonne vertébrale brisés…). C’est à la suite de ce traumatisme majeur qu’elle se met à peindre : au total 143 tableaux, dont 55 autoportraits.
En 1928, elle s’inscrit au Parti Communiste mexicain. C’est là qu’elle rencontre Diego RIVERA ( 1886-1957) qu’elle épouse en août 1929. Leur vie conjugale sera très mouvementée (fausses couches de Frida, divorce puis remariage…) Dès la fin des années 1940, l’état de santé de Frida s’aggrave, et la fin de sa vie ne sera qu’une suite d’hospitalisations, d’interventions chirurgicales et de maladies…
Restent des œuvres majeures et des photos d’une grande sensualité que je vous propose de découvrir
Les deux dernières photos sont sans doute des montages, mais on aimerait tellement croire à leur réalité qu'ils le sont un peu...
Serait-ce la poitrine fort différente qui vous fait penser au montage ?
Ces premières pages de magazine ont une sensualité surprenante. Surement un rappel de notre jeunesse.
Pas seulement la poitrine ; il y a quelque chose d'autre qui cloche, mais je n'arrive pas à définir quoi...
Impossible de lire votre réponse.
Pas plus que le mien.
Bizarre