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" JEU DÉCISIF", chapitre 10 (fin)
MATHIEU
Je ne voulais surtout pas gâcher la magie de l'offrande par une maladresse ou un impair. En silence, j'ai entrepris d'apprivoiser le trou de son cul qui me contemplait de son œil plissé : l'effleurer du bout des doigts, d'une pression du pouce en éprouver la souplesse et la docilité, le humer au plus près, en découvrir les senteurs secrètes aux relents de poivre et d'oignon mêlés, le titiller de la pointe de la langue, le lécher comme un chien assoiffé, l'enduire avec passion de salive épaisse jusqu'à entendre la voix étouffée de Carole :
Pour dire la vérité, je n'en menais pas large. Pour moi, l'expérience était inédite ; je n'avais encore jamais pratiqué la sodomie. Essentiellement par crainte d'un refus. En effet, la seule fois où j'avais osé le suggérer à une partenaire que je croyais cool, je m'étais vu opposer un refus catégorique qui avait eu le don de refroidir mes ardeurs. Depuis cette mésaventure, j'avais refoulé ce fantasme au plus profond de mes pensées. Et voilà que la situation était totalement inversée, que c'était ma partenaire qui manifestait l'envie de ma queue dans son cul : le monde à l'envers !
Docilement, je me suis agenouillé derrière sa croupe offerte. Comme attirée par un aimant, la tête de ma bite est venue se poser sur son anus humide. À première vue, la disproportion entre les deux paraissait inconciliable : d'un côté l'œillet étroit de son cul, de l'autre mon gland gonflé de sang comme une grosse prune... Et pourtant, lorsque tenant fermement Carole par les hanches, je poussai mon bassin vers l'avant, elle s'ouvrit sans résistance. La collerette de son anus s'élargit, ses chairs se firent élastiques et mon gland s'enfonça tout doucement... Une fois la tête passée, comme celle du bébé pendant l'accouchement, le reste fut aisément englouti dans l'obscurité du rectum. Je fus assailli de sensations nouvelles : pression de l'anneau de son anus qui m'enserrait la queue, chaleur intense de son gros intestin, grande vacuité du rectum sans fond... D'un coup de reins, Carole m'a invité à lui pistonner le fondement. Alors, d'abord prudent puis de plus en plus audacieux, je me suis mis à aller et venir entre ses fesses. À ma grande surprise, Carole fut la première à jouir. Son anus fut saisi de spasmes puissants qui me baguaient la bite en cadence pendant que je sentais suinter sur mon gland une mouillure inconnue... En jouissant et en haletant, Carole prononça des mots sans doute obscènes qui ne firent qu'augmenter mon excitation. Alors, ce fut à mon tour d'être emporté par mon désir. À l'approche de l'orgasme, quand j'ai senti le flot de sperme monter du scrotum, je me suis enfoncé le plus loin possible dans son cul, jusqu'à ce que mes couilles viennent se frotter à sa vulve dégoulinante et que mes poils pubiens caressent sa raire culière. C'est sorti en giclées gluantes. Partie du périnée, l'onde du plaisir s'est répandue à travers tout mon corps, vers le sommet de mon crâne et l'extrémité des mes orteils où elle s'est épanouie en un bouquet d'étincelles sensuelles.
Après un rapide passage par le cabinet de toilette, nous sommes encore restés plus d'une heure au lit à nous cajoler, nous embrasser et nous caresser partout. Une fois nos sexes rassasiés, était venu le temps de la tendresse. Tout en se bécotant, on écoutait les couples de chambres voisines qui se prenaient bruyamment. Le jour a lentement décliné, puis ce fut la nuit. Carole s'est rhabillée sans hâte, me laissant tout le loisir de lui caresser encore une fois les seins, de lui lécher le nombril, de lui embrasser la chatte... Alors qu'elle venait d'enfiler son manteau, je lui ai enfin posé la question qui me brûlait les lèvres :
- On se revoit quand ?
- Plus jamais, me répondit-elle d'une voix terriblement calme. C'était la dernière fois et je vous demande de ne pas essayer de me retrouver.
Elle a ouvert la porte de la chambre et elle est sortie sans un baiser, sans même un regard..
ÉPILOGUE
Cette étrange et trop brève liaison date depuis plus de trois ans. Carole a tenu parole : son nom a disparu du listing des adhérents du club de tennis et je n'ai plus eu de ses nouvelles. Moi aussi j'ai arrêté le tennis et je me suis mis à la natation. Deux soirs par semaine, je vais à la piscine où j'aime observer les femmes, et plus particulièrement celles dans la cinquantaine qui ont de gros seins et surtout des pubis rebondis serrés dans leur maillot de bain mouillé si près du corps
© Michel Koppera, mars 2019
Cette chatte existe t elle réellement ? Je suis hypnotisé .
Bien sûr qu'elle existe ! Vous pouvez même la voir en photo dans la seconde partie du chapitre 10 "Jeu décisif # 11"
Je n'en reviens pas !!! Quelle belle moule ! C'est impressionnant ! Je ne sais plus quoi dire !