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Keepsake.
Mes amours. Céline.
1 : 1974
Nous l’appellerons Céline. Elle était de deux ans mon aînée. Nous avions fait connaissance sur les bancs de la fac de lettres, en première année de licence. On travaillait en binôme sur les auteurs du XVIII ème siècle, et plus particulièrement sur Diderot. Nos travaux de recherche nous amenaient à nous rencontrer régulièrement, le plus souvent chez moi, car elle habitait à plus de 30 km de la ville. Céline était châtain avec des cheveux frisés très fins. Un petit nez pointu, une peau pâle, des lunettes rondes cerclées d’acier, toujours en pantalon et grande fumeuse de Gitanes. Pendant plus de deux années, nos relations restèrent très platoniques. Et puis en 1974, il a bien fallu songer à trouver du boulot. Nous étions quatre bons copains de fac, et par le plus heureux des hasards, nous avons décroché chacun un poste de maître-auxiliaire (prof au rabais) pour une année dans un collège à près de 80 km. Plutôt que de se taper la route tous les jours, nous avons opté pour la colocation d’une maison individuelle proche du collège. Il y avait là Marie-Christine qui enseignait le français comme moi, Pascal qui enseignait les maths et Céline l’anglais. Comme la maison était petite, les deux filles occupaient chacune une chambre et Pascal et moi partagions le séjour. On y habitait du lundi au vendredi. C’est là que ma relation avec Céline, une nuit d’hiver, a pris un tour nouveau. Il était deux heures du matin, Je ne trouvais pas le sommeil. À l’autre bout du séjour, Pascal dormait et surtout ronflait comme une forge. De guerre lasse, je me suis levé pour aller trouver refuge dans la cuisine… Et c’est en passant dans le couloir, devant la porte de Céline que j’ai choisi de franchir le Rubicon. La porte n’était pas fermée à clef, je suis entré tout doucement et me suis assis dans l’obscurité au bord du lit. Elle ne dormait pas, m’a demandé ce qui n’allait pas ; je lui ai expliqué la situation – ce qui était inutile puisque les ronflements de Pascal parvenaient jusque dans sa chambre.
- Si tu veux, viens te coucher avec moi… Mais avant, ferme bien la porte !
Je me suis glissé dans ses draps chauds. C’était un lit de 120, plutôt étroit, et nos corps se touchaient forcément. Céline dormait en nuisette de coton retroussée sur ses hanches. On s’est naturellement enlacés et embrassés à lèvres que veux-tu. D’une main agile, elle chercha mon sexe dans mon caleçon, tandis que je glissais la mienne entre ses cuisses à la rencontre de sa chatte. C’était la première fois de ma courte existence que je caressais un sexe aussi humide. J’en avais les doigts trempés. On peut dire que Céline dégoulinait. Une mouillure très chaude, à peine visqueuse, comme une salive tiède sans cesse renouvelée. Suivant le grand sillon de sa vulve, ma queue raide est entrée toute seule dans son vagin, comme aspirée dans ses profondeurs moites. Pour ne pas faire de bruit, nous n’avons cessé de nous embrasser… Céline a joui presque aussitôt, en me mordillant la langue…Plus tard, alors qu’elle était couchée sur moi, ce fut à mon tour de lui inonder le ventre de foutre.
Vers 5 heures du matin, j’ai regagné mon lit dans le séjour où Pascal ronflait toujours, mais cette fois, je n’eus aucun mal à trouver le sommeil. Cette nuit fut la première d’une longue série. Une à deux fois par semaine, toujours après minuit, alors que Pascal ronflait, je me retrouvais pour une heure ou deux dans le lit de Céline. Je crois que les autres ignorèrent tout de nos rencontres nocturnes. À chaque fois, je trouvais Céline toujours aussi trempée, aussi disposée à l’amour. J’appris plus tard de sa bouche que, pour s’aider à s’endormir et dissiper ses angoisses, elle se branlait presque tous les soirs dans son lit. Nos amours clandestines durèrent jusqu’en juin 1975, toujours dans le noir, pour ne pas éveiller les soupçons. Ainsi, pendant des mois, je ne connus du corps que Céline que la sensation de sa peau sous mes doigts, l’odeur de son cou, de ses cheveux, la saveur liquide de son sexe et ses discrets soupirs à mon oreille… À la fin juin, notre quatuor se dispersa, mais je n’en cessai pas pour autant de voir régulièrement Céline…
Néanmoins l'épisode est fameux !
Caty
C'est un plaisir pour moi que vous utilisiez des images de mes articles