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Mes aventures et mésaventures # 3
Michèle E*, 40 ans.
Printemps 1989. Notre relation débute par une lettre où elle me parle de son désir de nouer avec moi une « sincère relation amicale ». Il faut dire que ça fait plus de deux ans qu’on se côtoie professionnellement au quotidien. Il est donc convenu d’une soirée : dîner dans un restau italien, dernier verre chez elle puis autres verres… L’ivresse nous gagne. Vers deux heures du matin, elle me demande : « Est-ce que cela se voit que je suis nymphomane ? ». La réponse vient avec les gestes. Caresses sur le canapé, baisers, léchages réciproques, déshabillage généralisé. On baise. Elle a de magnifiques seins en pomme, deux parfaits demi melons… Beau cul aussi. Peau laiteuse, longs cheveux nattés, chatte anthracite… Elle aimerait que je l’encule mais a peu d’être déchirée - à cause de ses hémorroïdes – me demande quand même de lui introduire un doigt, puis deux. Quand elle jouit, elle désire que je lui mordille les tétons pendant qu’elle me laboure les épaules de ses ongles vernis.
Notre liaison durera presque un an. Beaucoup d’alcool, de cigarettes. Des week-ends entiers enfermés dans son appartement ou dans ma maison à la campagne, les portes et les volets clos, les rideaux tirés, à poil à toute heure du jour et de la nuit, sur fond de hard rock ou d’opéra, forniquant partout où le désir nous prenait : dans la salle de bains, au petit déjeuner dans la cuisine, au salon devant « Questions pour un champion »… Le souvenir qui me reste de cette relation est notre intégrale nudité, notre absence totale de pudeur… Son mari travaillait à l’autre bout de la France, ils ne s’aimaient plus.
L’année suivante, Michèle a été mutée à plus de 150 kilomètres. Une promotion. On s’était promis de se revoir, il n’en fut rien.
Caty