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Mes aventures et mésaventures, # 8
Annick S*, 1986
Notre rencontre eut lieu lors du réveillon de la Saint Sylvestre chez des copains de mon frère que j’accompagnais pour l’occasion. Je vivais seul depuis près de trois années ; Annick aussi était seule, depuis plus longtemps encore. J’ai appris beaucoup plus tard que cette coïncidence n’avait rien de fortuit : notre relation avait été en quelque sorte programmée à notre insu.
Ce soir-là, il ne se passa rien entre nous, tout juste quelques regards échangés, mais rien de plus. Cependant, dans la semaine qui suivit, Annick me téléphona pour m’inviter à passer chez elle prendre un verre.
Annick avait mon âge et était caissière dans un supermarché (on ne disait pas encore hôtesse de caisse). Plutôt petite, blonde platine coiffée à la Sylvie Vartan, très grosse poitrine. Elle était mère d’un garçon de 12 ans, pensionnaire pendant la semaine dans une section sport-études. Le père ne donnait plus signe de vie. Le soir même de ce premier tête-à-tête, on s’est retrouvés dans le même lit. Notre liaison dura près de neuf mois.
Ce fut une étrange relation. Pendant presque un an, je partageai 2 à 3 fois par semaine le lit d’une femme blonde alors que j’ai toujours eu un faible pour les brunes. Plus étonnant encore, je me mis au tiercé dominical, à la belote familiale et aux rengaines du Top 50 !
Si en public Annick affichait beaucoup de réserve et de pudeur, dans l’intimité elle faisait preuve de beaucoup plus d’audace. Dans la douce chaleur de son petit appartement, elle portait des déshabillés d’un rose vaporeux qui ne cachaient presque rien de ses seins lourds et de son ventre au large pubis à la blondeur clairsemée. Elle aimait me branler entre ses seins qu’elle tenait à deux mains comme dans les films pornos dont elle était très friande. Mais le plus déroutant, c’était ses préférences sexuelles. Quand elle était excitée –lui téter les seins la rendait folle – Annick mouillait si abondamment que son sexe devenait une sorte de marécage où ma bite s’enlisait, trop à l’aise dans sa fente béante et comme savonnée. Alors, à chaque fois, elle me demandait de l’enculer et son rectum était aussi accueillant qu’un vagin où je m’enfonçais avec délice et aisance, pour son plus grand plaisir. Annick jouissait par le cul en se masturbant frénétiquement le clitoris.
Les semaines passèrent. On dînait ensemble, on baisait, on jouissait, on dormait… C’était notre rituel. Elle y croyait, moi pas.
En octobre 1986, alors que je venais de prendre possession de ma maison tout juste rénovée, Annick parla avec insistance de vie commune. Elle ne comprit pas mes réticences, puis mon refus. On en resta là. Je retourna à ma solitude, à mes travaux d’écriture un temps abandonnés. C’en était fini de la belote, du tiercé et du Top 50 !
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