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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Ce soir, Hélène et moi, dans notre chambre, nous sommes assis face à face sur le tapis de laine. Nos jambes et nos cuisses se chevauchent et nos têtes sont front contre front. Les regards ne quittent pas le ventre de l’autre, nos ventres nus. Hélène, sans visage, avec ses cheveux noirs comme un masque. Elle ressemble à un portrait de Félix Labisse. Un tee-shirt blanc lui couvre le haut du corps, mais elle est nue sous la taille. Les courbes de ses hanches évoquent les veuves lubriques de Clovis Trouille.
Je suis face à Hélène, habillé moi aussi d’un tee-shirt blanc. Je ne sens d’elle que la pesanteur de son front et la chaleur de sa peau dans nos jambes mêlées, cuisses largement ouvertes. Nous nous branlons. Elle a le sexe touffu, noir, épais. Sa vulve est comme un fruit. Elle s’excite parfois de l’index, souvent des quatre doigts réunis. La peau de sa main a des reflets d’huile. Je me branle de la main droite, doucement. J’ai l’impression que ma bite ne cesse de grandir, de gonfler. Je vais jouir. Hélène écarte sa main et mon sperme blanc jaillit et se répand sur la chair nue et humide de sa vulve béante… A-t-elle joui elle aussi ?
- Merci pour les œillets ! me souffle Hélène alors que nous sommes sous la douche.
L’eau qui ruisselle sur ses cheveux noirs coule entre ses seins lourds.
- Et avec Dominique, ça se passe bien ?
Je sens mon cœur qui bat trop vite.
- À quel sujet ?
- Et bien, sa recherche de maison et votre projet d’album.
Je respire profondément.
- Tout en est panne. Ce n’est pas sérieux, je crois que je vais laisser tomber.
Hélène m’enlace de ses bras tendres. L’eau chaude nous enveloppe. Je sens son ventre amoureux qui vibre contre le mien.
- Tu as sans doute raison. Tu sais, j’ai lu qu’il existait des crèmes spéciales pour la sodomie, dit-elle en me caressant les fesses. Avec ça, il paraît que la pénétration est sans douleur et qu’on peut même y prendre plaisir. Je vais en commander un tube… On dit que les hommes aiment ça… Toi aussi, mon chéri ?
FIN
Caty
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