Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
L’invité d'un soir
La photo nous dit que nous sommes au salon. L’appartement est modeste, les murs nus, le mobilier austère. Quand ? Sans doute un soir d’automne, lorsqu’on s’habille de couleurs sombres.
L’éventualité de se faire baiser par un black n’avait été pendant de longues années qu’un fantasme enfoui au plus profond de ses pensées. Le temps a passé puis, dans les kiosques, elle a vu des photos à la couverture des magazines, au cinéma elle a vu des films et plus tard visité des sites pornos sur internet. Alors, elle s’est dit que finalement son rêve secret pouvait peut-être devenir réalité. Un jour, elle a osé en parler à son mari qui ne s’est pas moqué d’elle, qui n’a pas dit non…
Des mois ont encore passé, et un vendredi, de retour du bureau, son mari lui a annoncé que le lendemain soir, il avait invité un collègue africain à venir prendre l’apéritif. Elle a aussitôt compris.
Le lendemain donc, elle s’est préparée : elle s’est rasé le bas-ventre, convaincue que cela faisait partie du scénario ; elle a choisi une longue jupe noire, un haut aux couleurs de feuilles mortes, des bas noirs…
L’invité est arrivé avec un peu de retard, juste le temps de se faire désirer. Ensuite, elle a bu deux whiskies bien tassés pour perdre toute pudeur. Alors, elle est allée s’asseoir à côté de l’invité d’un soir. Quand il a soulevé sa jupe, elle a écarté les cuisses pour qu’il voie bien qu’elle ne portait pas de culotte, qu’elle était consentante. Elle avait déjà la chatte humide, prête à se faire défoncer.
Assis dans le fauteuil d’en face, son mari a pris la première photo de la soirée…
Mais, promis juré, ça n'est pas moi sur la photo!!!!
Rien ne peut me faire plus plaisir que ce genre de commentaire qui me conforte dans la pertinence de mes "lectures" d'images. Merci donc
On ne peut que ce prendre au jeu, et on imagine la suite...
Certainement avons nous chacun la notre, toutes différentes,
mais toutes chargées de nos fantasmes...