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"La métisse du Cap vert", nouvelle inédite # 5
Ce fut à moi que Pascal G* demanda de filmer et de photographier sa relation avec Flora, et en particulier leurs petites mises en scène érotiques. Lorsque Flora arrivait le samedi, à quinze heures précises, elle traversait le rez-de-chaussée désert, jusqu’au petit bureau où elle trouvait sa tenue complète, préparée sur un portant, tout près de la porte qui donnait sur l’escalier menant à l’étage. C’était là qu’elle abandonnait ses vêtements de ville pour revêtir son costume de scène : tenue d’infirmière, de femme de chambre avec tablier brodé, de veuve en voilette noire, de dame patronnesse en tailleur strict ou d’agent immobilier avec attaché-case et lunettes à monture d’acier… À chaque fois, Monsieur G* veillait à la qualité et à la sensualité des sous-vêtements.
Il faut dire que j’ai rarement eu l’occasion de voir plus belle femme que Flora. Sans jamais l’avoir touchée, j’ai connu intimement chaque parcelle de son corps, sauf peut-être ses pieds qu’étrangement elle n’aimait guère montrer. Pour le reste, elle était d’une grande impudeur. Dès qu’elle se trouvait en présence de Pascal, elle donnait l’impression de tomber dans une sorte d’état second qui la coupait totalement du monde extérieur. Par exemple, jamais au cours de ces séances particulières elle ne m’adressa la parole, ni même un regard. J’étais là, à portée de mains, tout près, pourtant c’était comme si je n’existais pas.
- Voilà Michel, lui dit Pascal le jour où je lui fus présenté. C’est lui qui s’occupera de la technique.
Elle ne chercha pas à en savoir plus sur moi.
Flora était vraiment superbe. Tout en elle dégageait une terrible sensualité. Même habillée, elle me faisait de l’effet. Avec son fessier haut perché, elle avait ce petit plus qui transforme de simples pas en esquisse de danse. Dans l’action, elle devenait torride. Sa poitrine était une splendeur : de gros seins ronds et fermes, des aréoles comme tracées au compas, des mamelons grenus comme des mûres… Et sensibles avec ça ! Elle pouvait jouir par les seins. Il suffisait que Pascal passe la paume de la main sur ses rondeurs et lui titille un téton du bout de la langue, alors les lèvres de sa vulve se gonflaient de sang, elle mouillait de bonheur et finissait par avoir un orgasme en ondulant des hanches.
J’ai connu d’elle les plus secrets recoins, les plus intimes odeurs. Devant moi, elle se caressait sans pudeur, suçait la bite de Pascal, se faisait pénétrer par les deux trous avec la même ardeur. Le plus impressionnant chez Flora, c’était les bruits. Elle avait le sexe aussi volubile que la bouche. Quand elle taillait une pipe à Pascal, le bruit de succion de ses lèvres n’était pas moins excitant que l’image. Dans la montée du plaisir, elle modulait à l’infini ses soupirs, gémissements, halètements, râles au moment de la jouissance. Quant à son sexe, il mouillait tellement que le moindre attouchement engendrait un charmant gargouillis humide, et le clapotis de la bite de Pascal pistonnant son vagin avait quelque chose de délicieusement obscène.
à suivre...
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