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Reprenons le fil de cette soirée très particulière...
Tout un côté de la pièce était occupé par une longue table qui faisait office de buffet garni de plateaux de petits fours, de canapés au caviar, de verrines colorées… Le champagne était à volonté. Sur les trois autres côtés de la pièce étaient alignés de grands et profonds canapés de velours rouge où étaient déjà installés quelques convives et, au centre de la pièce, isolée, il y avait une sorte d’estrade entièrement recouverte d’un drap noir. Cela ressemblait à une petite scène à laquelle on accédait par un petit escabeau à deux marches.
L’ambiance était détendue mais étrange, pas seulement à cause des masques, mais aussi en raison d’une certaine retenue : pas de rires bruyants, pas de musique de fête… En bruit de fond, une simple musique d’ambiance, comme dans les ascenseurs.
Enfin, lorsque les appétits furent calmés et que chacun fut un peu grisé par le champagne, une femme monta sur la petite estrade et demanda le silence – il me sembla reconnaître la voix de la secrétaire de direction que j’avais eue au téléphone une quinzaine de jours auparavant.
- Mesdames, messieurs, comme vous le savez, le départ de M. Berthou va libérer le poste de DRH. C’est un poste à responsabilités qui exige des qualités remarquables, tant en interne qu’en communication externe. Dans ce cadre, la compagne du DRH a son rôle à jouer : elle n’est pas simplement une épouse, c’est aussi une collaboratrice et un soutien. Aussi, afin de mettre tous les atouts de notre côté, nous avons décidé de procéder à une sorte de test d’aptitude auprès des compagnes des trois cadres susceptibles d’occuper ce poste. Je demande donc à mesdames Valérie Thomain, Elisabeth Sevran et Sylvaine Gallois de bien vouloir me rejoindre sur l’estrade.
À l’annonce de mon nom, j’ai senti mes jambes fléchir et un frisson glacé m’a couru dans le dos. Marc a posé une main sur mon épaule pour m’encourager.
- Vas-y, fais le pour nous, m’a-t-il soufflé à l’oreille.
Les deux autres femmes, l’une blonde, l’autre châtain, n’en menaient pas large non plus. Une fois montées sur l’estrade, la secrétaire expliqua à l’assemblée la règle du jeu :
- Nous allons mettre à chacune des candidates un bandeau sur les yeux. Ensuite, elles ôteront tous leurs vêtements pour ne conserver que leurs chaussures et éventuellement leurs bas. Une fois dénudées, elles se mettront toutes les trois en position, c'est-à-dire à quatre pattes sur l’estrade, un peu cambrées, dans la position d’une chienne en chaleur. Alors, à tour de rôle, les convives qui le souhaitent seront invités à leur lécher l’entrefesses pendant une minute. Chaque lécheur se verra attribuer un numéro de passage. À l’issue de l’épreuve, chaque candidate devra annoncer à haute voix à quel numéro lui paraît correspondre celui de son compagnon.
Ce discours m’a figé le sang. J’ai désespérément cherché le regard de Marc mais des larmes embuaient mes yeux et devant moi, tout n’était plus que brouillard.
Ensuite, tout alla très vite. Tournée vers le mur, on a ôté mon masque aussitôt remplacé par un bandeau opaque, on m’a entièrement déshabillée, puis on m’a agenouillée et forcée à me mettre à quatre pattes, la croupe offerte et tournée vers l’assemblée. J’ai senti contre ma hanche la peau d’une autre des concurrentes : elle était moite et glacée. Une main m’a obligée à écarter les genoux pour m’ouvrir davantage, puis plus rien… rien que la musique douce qui tombait du plafond.
L’attente m’a paru interminable.
Enfin, j’ai senti un souffle entre mes cuisses, puis une bouche se poser sur mon sexe. Une voix a annoncé : N° 1. C’était une bouche épaisse, sans doute avec une moustache qui me chatouillait le périnée. Elle a commencé par me lécher maladroitement le clitoris, puis la langue s’est glissée dans mon vagin comme une limace chaude. J’en ai frissonné de honte mais sans aucun plaisir. Pour terminer, il a bien tenté de me lécher l’anus mais sans éveiller en moi autre chose que le dégoût. Jamais une minute ne m’a paru aussi longue.
Ce n’est qu’au quatrième lécheur que je me sentis mouiller malgré moi. Ses lèvres étaient incroyablement douces, sa langue souple, chaleureuse, et habile en plus. À chaque fois qu’elle me titillait le clitoris, une vague de cyprine m’inondait le vagin. Je la devinais qui lapait mon jus le plus intime. Quand elle m’abandonna, je me sentis béante, avide et gourmande, dans l’attente du suivant. Ensuite vinrent d’autres bouches, d’autres lèvres, d’autres langues, d’autres souffles brûlants sur mon anus maintenant dilaté et accueillant. J’étais sans cesse au bord de l’orgasme, tout comme ma voisine de droite qui peinait à retenir ses soupirs rauques.
Lorsque la voix annonça le numéro 13, je compris que je n’avais pas été léchée que par des hommes, mais que des femmes participaient aussi à l’épreuve. Loin de me révulser, la pensée d’avoir le cul brouté par une femme ne fit qu’exacerber mon plaisir. Je m’ouvris davantage. Le numéro 17 fut le dernier participant et pas le plus désagréable, loin de là.
- Alors, à votre avis, quel numéro portait votre mari ? me demanda la voix.
à suivre...