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Extrait 6 : Renée DUNAN ?
Colette, ou les amusements de bon ton ( 1937 )
Publié sous le pseudonyme de Spaddy en 1937, cet ouvrage met en scène une certaine Colette qui se livre avec quelques amis des deux sexes à toute une série de joyeuses débauches. Il n’est pas sûr que l’auteure en soit Renée Dunan (1892-1936) qui publia cependant de son vivant, sous divers pseudonymes, quelques récits érotiques.
« - Branle-le, que je te dis ! ordonna Colette avec cet emportement qu’elle a dès qu’on résiste à ses plus extravagants caprices. Et puis, pelote-lui le cul… il doit l’avoir joli… ça te dédommagera.
Et comme toujours, ma passion pour cette adorable garce me fit céder à son exigence.
Sans qu’il s’interrompit de sa plaisante besogne qui déjà tirait des soupirs à Colette, je rabattis la culotte de René et, agréablement surpris par la blancheur et la tournure rondelette de ses fesses, je ne me fis pas violence pour les lui patiner.
- Ma foi, m’écriai-je, enchanté, c’est un vrai cul de fillette !...
- Eh bien ! tout à l’heure, tu l’enculeras !... Pour l’instant, astique-lui le vit… ça m’excite !
« Ça m’excite ! » c’est son mot le plus familier. Il est irrésistible et sans réplique.
Je branlai donc le joli cousin, tout en prenant de mon autre main une revanche sur sa charmante croupe où je cherchais la perverse émotion du sexe bâtard. Sa verge, courte et fluette, servait mon illusion, tandis que mon doigt s’amusait autour de son anus sans poils.
- Lèche !... Lèche bien !... lui disait Colette. Pointe ta langue dans le haut… Trouve… ne sens-tu pas le petit bouton ?... Oui… là… comme ça… un peu plus fort… Ah ! ah !... parfait !
Elle lui avait passé sa jambe gauche en collier, et paresseusement adossée, les deux bras sous sa nuque, elle balançait sa motte aux coups de langue du gamin.
- Mais, c’est qu’il sait faire, le vicieux !... Ah ! qu’il suce bien !...
Elle ne fut pas longue à jouir.
- Plus vite !... plus vite !... Mets ton doigt dans mon cul… Ah ! ah !...
Elle agita son ventre.
- Ah ! ça y est !... ça y est !... gémit-elle dans son étreinte de ses jambes autour de la jolie tête.
Au même moment, je sentis la petite queue se gonfler, quelques gouttes chaudes perlèrent sur mon pouce et le gosse tituba.
- Vite, viens me le mettre, dit Colette qui l’attirait à elle de toute la force de son désir… Viens, petit, que je me paie ton pucelage !...
Mais la queue de René n’était plus qu’une chiffe molle.
- Quoi ? Déjà tu débandes ? … T’es donc pas un homme ! fit Colette avec humeur.
Ma jalousie d’amant se gaudissait de cette défaillance.
- Voyons, observai-je, tu ne vas pas te faire monter par un même qui n’a que du lait dans les couilles !
- Mais si, mais si, s’obstinait la goule. Je veux qu’il me baise devant toi… Hein ! mon petit, que tu vas me baiser ? Allons, bande ! Tu verras si c’est bon de mettre sa quéquette dans un con de femme ! Puisque t’oses pas avec ta mère, c’est moi qui vais te régaler !... Seulement, bande, petit couillon… D’abord, foutons-nous à poil !... »
savez-vous de qui est le tres beau dessin a la plume ? le deuxieme, la ou il y a une femme avec deux hommes dont l'un la leche ?
merci d'avance.
malheureusement, je l'ignore. Désolé !
Merci pour ce blog tres plaisant... Je crois que j'ai un peu de mal a poster mes commentaires... J'essaie de nouveau.