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Deuxième extrait de l'ouvrage "La sexualité dans la magie" de Yves Verbeek.
Pages 64-65 : chapitre intitulé : des pratiques peu avouables
" De nombreux peuples primitifs croient à la vertu virilisante ou fécondante de la nudité. En Polynésie, par exemple, on est persuadé qu'en découvrant les parties génitales et en les présentant à la lumière, elles subiront l'influence bénéfique du mana, c'est-à-dire de l'esprit qui habite le totem protecteur du clan qui porte son nom.
S'il existe des fluides magiques favorables à l'épanouissement de la sexualité, en retour, l'exercice de la sexualité a souvent la réputation d'accroître les pouvoirs occultes de l'individu. Mais dans le monde de la magie, rien n'est "normal", et par conséquent, l'acte sexuel propice à la puissance magique ne saurait l'être. Il se doit même souvent d'enfreindre les tabous les plus rigoureux. Aussi a-t-il généralement un caractère incestueux.
Dans une tribu de Madagascar, les hommes qui partent pour la pêche, la chasse ou la guerre ont des relations sexuelles avec leurs sœurs ou des parentes très proches, afin de favoriser le bon déroulement de l'expédition. Cette pratique se retrouve en divers points du continent africain, surtout chez les peuples chasseurs, et cela bien que l'inceste y soit rigoureusement interdit en toute autre circonstance. L'inceste n'a pas seulement la réputation d'accroître la puissance agressive du guerrier ou du chasseur. Dans certaines tribus, on y voit un moyen de lutter contre les dangers extérieurs, notamment contre la morsure des serpents les plus vénimeux. Chez les Anyanja du Nyassaland (aujourd'hui Malawi), on est même persuadé que d'avoir des rapports sexuels avec sa mère, sa sœur ou, pis-aller, avec sa tante, met ensuite à l'abri des balles de l'ennemi. En outre, les sorciers de cette tribu recourent couramment à l'inceste pour renforcer les plus dangereux de leurs pouvoirs occultes. Il arrive ailleurs que le sorcier ne puisse vraiment inaugurer sa "carrière" qu'après avoir eu un commerce sexuel avec sa propre fille.
C'est du reste une constante dans l'histoire de la magie noire : les sorciers et les sorcières auront presque toujours la réputation de se livrer aux pratiques sexuelles les moins avouables, non seulement à la sodomie et à l'homosexualité, mais aussi à l'inceste. De là vient d'ailleurs la croyance largement répandue selon laquelle la sorcellerie serait héréditaire, leurs enfants naissant des amours entre sorciers et sorcières étroitement apparentés.
L'interdit soit disant universel de l'inceste ne serait donc qu'un avatar inscrit dans le temps et dans l'espace . Rien de plus .