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Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Megan Folwell, étudiante à l'Université d'Adélaïde, en Australie, a récemment découvert, avec une équipe de recherche, que les serpentes (serpents femelles) avaient aussi un clitoris. En fait, il s'agit d'un hémi-clitoris, jusqu'ici jamais identifié et confondu avec les organes mâles. En disséquant une vipère, elle a découvert dans sa queue "deux langues de chair " formant un coeur, composées de tissus érectiles et comprenant de nombreux faisceaux nerveux. Poursuivant ses investigations, l'équipe a retrouvé un semblable clitoris chez neuf autres espèces de serpents. Cet organe très discret (il mesure de 1 à 7 mm !) semble pouvoir être stimulé par le mâle lors de la parade d'accouplement, grâce à l'entremêlement des queues et au chevauchement, procurant du plaisir et facilitant la lubrification pour rendre la pénétration du double pénis garni d'écailles moins douloureuse.
On savait déjà que toutes les femelles des mammifères, terrestres et marins, et même certains oiseaux comme l'autruche possèdent un clitoris et que, comme chez les humains, cet organe joue un rôle essentiel dans la quête du plaisir et l'accouplement, notamment dans la lubrification vaginale. Chez les hyènes tachetées, le clitoris érectile est même tellement développé qu'on a longtemps cru que ces animaux étaient hermaphrodites !!!
Comme dirait l''autre, "la nature fait bien les choses"
"Serpent" est un nom épicène : de la même manière qu'on ne dira pas "un souris" ou que sais-je encore pour parler de la souris mâle, on n'écrira pas le nom différemment pour parler d'un serpent femelle.
Il est vrai que massacrer la langue française est à la mode, de nos jours, mais nous ne sommes pour autant pas obligés de la suivre.