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La notion d’homme-objet a fait son apparition dans la Rome antique. En effet, si les femmes patriciennes comptaient pour quantité négligeable aux yeux des hommes de leur rang (Sénéque (2-68 ap JC) conseillait par exemple aux hommes de « se conduire en époux avec leur femme et non en amants »), elles avaient en revanche tout pouvoir sur leurs esclaves, mâles ou femelles.
On en voyait donc qui allaient jusqu’à faire castrer leurs plus beaux spécimens qu’elles choisissaient afin de pouvoir en user selon leur bon plaisir sans prendre le risque d’une grossesse, comme en témoigne le poète Martial (40-103 ap JC): « Caelia veut être besognée mais elle ne veut pas d’enfant. Elle n'a pour la servir que des eunuques. » Il va de soi qu’elles étaient également de grandes acheteuses et utilisatrices de godemichés. On était encore dans une époque bénie où l’activité sexuelle ne faisait l’objet d’aucune réprobation morale ou sociale. ( informations trouvées dans Le secret des femmes, éditions Odile Jacob, 2010)
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