Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
À propos des estampes japonaises appelées "shunga" c'est à dire "images de printemps", de 1600 à 1900
Les premières estampes érotiques japonaises sont apparues vers 1600. Elles étaient alors peintes à la main et richement colorées, parfois d'or et d'argent ce qui explique leur prix très élevé : seuls les samouraïs qui formaient la classe dominante en possédaient et conservaient ces images comme un trésor familial transmis de génération en génération. À la différence des chungonghua chinois, les shunga insistent davantage sur la représentation des organes sexuels dont la taille est vite exagérée.
Dès 1650, les shunga entrent dans l'ère du ukiyo-e ("images du monde flottant"). L'introduction de la technique de la gravure sur bois rend alors les estampes moins onéreuses, notamment pour les chônin (bourgeois qui fréquentent le "monde flottant" des villes). Le "monde flottant" était l'autre nom donné aux quartiers de plaisir qui se sont développés dans les villes japonaises dès le début du XVIIème siècle. Les grands maîtres de l'âge d'or des shunga, entre 1770 et 1850, furent Kiyonaga, Utumaro et Hokusai ( le plus connu en Occident par des oeuvres comme "la vague" et "le rêve de la femme du pêcheur")
Sources : article de Charles Giol paru dans le numéro hors série du Nouvel Obs "L'érotisme dans l'art", janvier 2014
Derniers Commentaires