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À poil(s) ou pas ?
Les « poils d’or » dont Zola avait gratifié les aisselles de son héroïne Nana (1880) mirent à l'époque le public en « rut ».
Aussi en 1904, Le Bréviaire de la femme recommandait à ses lectrices l’épilation axillaire « indispensable avec la forme nouvelles de robes du soir outrageusement décolletées »
Cependant, la même année, Emile Bayard, inspecteur de l’Académie, déplora dans son ouvrage La Pudeur dans l’art et la vie, « l’absence scabreuse de la touffe de poils riante comme un nid sous les bras » et fustigea les artistes modernes qui « s’évertuèrent à épiler les aisselles et le pubis des femmes, sans se douter que leurs mains de vandales montraient, de la sorte, le chemin de la malsaine concupiscence »
Références : Jean da Silva, auteur du « Du velu au lisse : histoire et esthétique de l’épilation intime », 2009
Marquet, la femme au divan
Caty
Et je partage ton point de vue et je te félicite, sans "couper les poils en 4"
http://www.mmediene.fr/peinture/caillebottenuausopha/