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Au Moyen Âge, le médecin philosophe Albert le Grand (1205- 1280) conseillait aux femmes les pratiques solitaires. Il écrivait que, vers 14 ans, les jeunes filles commencent à désirer le coït mais n'émettent pas (pas d'émission de "semence féminine", croyance largement admise à l'époque). Il ajoutait que si certaines d'entre elles ne peuvent avoir de rapports sexuels, " elles peuvent se livrer à des pratiques avec les doigts ou d'autres instruments jusqu'à ce que les conduits soient relâchés par la chaleur du frottement et que sorte l'humeur spermatique, ainsi que la chaleur qui l'accompagne. Alors leurs aines sont tempérées et elles deviennent plus chastes". Albert le Grand pensait donc que pour la jeune fille; la masturbation possédait un rôle thérapeutique. Les pratiques solitaires, pour la plupart des auteurs qui les mentionnent, avaient lieu par l'intermédiaire d'instruments censés représenter le sexe masculin et non par une excitation du clitoris. De nombreuses femmes vivaient seules pendant que leurs maris étaient à la guerre, en pèlerinage ou faisaient du commerce. La masturbation féminine constituait alors une garantie pour la pureté du lignage. (source documentaire : "Le plaisir au Moyen Âge" de Jean Verdon, éditions Perrin, 1996)
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