Vendredi 16 janvier 2015 5 16 /01 /Jan /2015 08:00

Michel M., un lecteur homonyme, m'a envoyé ce récit inédit très inspiré de faits réels et m'a proposé de le mettre en ligne sur le blog si je le jugeais digne d'être publié. La qualité du texte justifie cette publication. Les illustrations de Dubigeon sont aussi un souhait de l'auteur.

Le soutien-gorge rouge

Nous sommes un couple mature, Lida, asiatique, petite, BCBG, très bien conservée et sexy, gros seins un peu pendants ornés de grosses auréoles marron, chatte poilue, anus naturellement sans poil, Moi Michel, français, candauliste convaincu et bi.

Nous venons d’avoir  la visite de Bernard un ami de longue date.  Il est un peu plus âgé que nous. Lida travaillait avec lui il y a plusieurs années quand il était pépiniériste.

Un  jour Lida est rentrée du travail en me disant :

sgr2- Tiens, Bernard m’a dit te passer cette enveloppe, je crois que ce sont des magazines.

Intrigué, j’ouvre l’enveloppe et y trouve trois bouquins porno un peu anciens, type années 60, coquins mais gentils…  J’avoue que je ne suis pas indifférent aux belles femmes un peu plantureuses de cette époque, gros culs, chattes poilues, grosses mamelles portant des gaines moulantes et de gros soutien-gorge.

Ce qui m’intrigue, c’est quand même pourquoi il m’a envoyé cela alors que je ne me souviens pas lui avoir parlé d’un de mes passe-temps favoris, la pornographie… Me poser la question m’excite énormément. Après une nuit de réflexion, je me dis qu’après  tout, je vais jouer son jeu et lui rendre la gentillesse en lui prêtant quelques bouquins de mon extensive collection. Je prépare une petite variété (Hétéro, homo, Bi, zoo, bondage) que je vais remettre à Lida pour qu’elle les lui passe. Avant de fermer l’enveloppe, je me décide à glisser discrètement dans l’un des magazines trois photos très intimes de Lida, L’une debout en soutien-gorge rouge chatte poilue à l’air, la seconde allongée sur  le lit jambes très écartées montrant  sa chatte grande ouverte et ses grosses lèvres marron bien mouillées, la troisième en levrette prise de derrière sa main écartant ses fesses pour montrer son anus et sa chatte, son visage bien reconnaissable sur les trois photos.

- Tiens tu donneras cela à Bernard en lui disant que cela lui donnera de bonnes idées.

Je suis quand même inquiet que Lida trouve les trois photos d’elle si elle se décide de fouiller dans l’enveloppe.

J’attends avec impatience et excitation une réaction venant de Bernard. Une semaine passe et toujours rien. Je commence à croire que Bernard n’a pas trouvé les photos ou qu’elles ont glissé du magazine au  fond de l’enveloppe. Ou tout simplement, qu'il n’est pas intéressé bien que je le soupçonne d’être très vicieux avec ses petits yeux pétillants.sgr3

Lida rentre un soir en me disant :

- Tu sais ce que Bernard m’a demandé aujourd’hui ?

- Aucune idée

Il m’a demandé :

- Tu portes ton soutien-gorge rouge aujourd’hui ?

- Je lui ai dit que non, et que j’en avais un blanc aujourd’hui. Mais comment sais-tu que j’ai un soutien-gorge rouge?

Il m’a dit en souriant :

- Je sais, Je sais tout….

- Je ne comprends pas, je n’ai jamais mis mon soutien-gorge rouge au travail. Comment le sait-il ?

Bernard avait donc visiblement étudié les photos en détail, et s’il connaissait l’existence du soutien-gorge rouge, il avait également dû se branler en étudiant la chatte, le cul et les nichons de Lida. Cela m’excitait terriblement de savoir qu’un de mes meilleurs amis connaissait ma femme dans son intimité.

Qu’allait-il faire maintenant ? Mon espoir était qu’il essaye d’aller plus loin et de baiser Lida.

J’ai tout d’un coup réalisé qu’il y avait quelque d’anormal dans ma réaction. Alors que je devais être jaloux, je voulais au contraire que ma femme se fasse baiser par un autre homme.

C’est à cet instant que j’ai découvert mon  penchant pour le candaulisme.

Quelques jours plus tard, Lida est rentrée en me disant :

- Bernard était complètement gaga aujourd’hui, il me faisait même un peu peur. J’étais seule dans le tunnel où nous faisons germer les graines de palmiers quand il est arrivé. Il faisait sombre et j’étais au fond travaillant sur une table. Il tournait en rond et faisait semblant de s’occuper.

Il m’a alors demandé :

- Est-ce que vous êtes échangistes ?

- Qu’est-ce que c’est ?

- Est-ce que vous faites l’amour avec d’autres  hommes ou couples.

- Non, définitivement pas.

- Vous devriez essayer, c’est très enrichissant !

- Il est venu derrière moi et s’est alors plaqué contre moi. Ses mains ont saisi mes seins alors qu’il appuyait son bassin contre mes fesses. Je sentais sa queue bandée à travers son short appuyer entre mes fesses. Je me suis alors énervée et je lui ai dit de se calmer. Ce qu’il a fait immédiatement. Il n’est pas revenu à la charge sur le coup et m’a laissée tranquille.

 

sgr4Dix ans plus tard Bernard est toujours notre ami et est donc venu nous rendre visite hier. Quand elle a entendu sa voiture arriver Lida a disparu dans la chambre pour se changer. Quand elle en est ressortie, elle était ravissante et portait une superbe mini robe large et assez transparente avec des manches très amples qui laisser deviner toutes ses généreuses formes. Je remarquai notamment sa poitrine bien relevée. Sa manche entrouverte me révéla un soutien-gorge rouge, un La Perla que je venais de lui acheter. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir au travers du tissu de la robe qu’elle ne portait pas de culotte sous sa robe.  Je pouvais en effet deviner l’ombre de sa touffe et le clivage de ses fesses.

Bernard lui de ses yeux pétillants ne perdait pas un instant du spectacle et je suis sûr qu’il avait lui aussi repéré le soutien-gorge rouge et deviné la touffe de sa chatte. C’était un retour de dix ans en arrière !

J’avais bien du mal à contenir mon excitation et je crois que lui aussi.

Quand il est reparti hier soir, j’ai demandé à Lida :

- Dis-moi, le soutien-gorge rouge, tu l’avais fait exprès ?

- Oui probablement. Tu as aimé ?

- Oui et je crois que Bernard aussi, il ne t’a pas quitté des yeux de tout l’après-midi. Cela a dû lui rappeler des souvenirs…

- Oui, c’est ce que je voulais et je voulais également profiter du moment pour te faire une révélation

- Révélation de quoi ?

- Quand je travaillais chez lui, tu sais le jour où il a essayé de me sauter dans le tunnel, et bien il m’a effectivement sautée, il était absolument déchaîné ce jour-là et bien plus fort que moi. Il a réussi à me déshabiller, arracher mon soutien-gorge et ma culotte avant de me pénétrer sauvagement la chatte. Il avait une queue pas très épaisse mais très longue qu’il a déchargée en moi. Il ne s’est pas contenté de cela, le lendemain, il a recommencé mais cette fois, il m’a enculée.

Et cela a duré encore pendant les six mois suivants où j’ai travaillé chez lui. J’y avais droit pratiquement tous les après-midi après que les autres employés étaient partis. Je travaillais en général dans la grande serre parmi les palmiers avancés. Bernard arrivait et me coinçait contre la table avant de me demander en souriant la couleur de mon soutien-gorge. Il me demandait de le lui montrer. C’était devenu un peu un jeu entre nous. J’ouvrais mon corsage pour lui révéler mes charmes. Il regardait longuement mes seins mais n’y touchait pas. Puis il me retournait et me faisait appuyer mes mains sur le rebord de la table et cambrer ma croupe. Je sentais monter son excitation. Tout allait alors très vite. Il baissait mon pantalon et ma culotte qu’il descendait à mes pieds, m’écartait les cuisses, me prenait par les hanches  avant de forcer d’un seul coup de rein sa longue queue dans ma chatte. Il commençait alors à me saillir à grands coups de reins butant dans mon utérus. Au bout de plusieurs minutes je sentais son corps se raidir avant qu’il ne décharge plusieurs jets de sperme en moi. Certains jours, il préférait prendre mon anus mais il y mettait un peu plus de douceur au début de sa pénétration, mais dès qu’il sentait que son gland avait passé mes sphincters, rien ne l’arrêtait plus jusqu’à ce qu’il inonde mon fondement de son sperme. Il se retirait alors, je me rhabillais avant de rentrer chez nous. Je ne voulais pas t’en parler car j’avais peur que tu réagisses mal. Maintenant tu le sais… J’avoue que je commençais à apprécier ces petites sessions surtout quand tu étais absent en déplacement pour plusieurs semaines.sgr1

- Rassure-toi, je ne t’en veux pas. Je me doutais qu’il se passait quelque chose et cela m’excitait de le savoir. J’y ai probablement contribué un peu.

- Qu’est-ce que tu veux dire ?

- Non rien…

 

Depuis cette récente révélation de Lida, mon esprit divague et fait la chamade. Je suis un candauliste invétéré depuis de nombreuses années et de savoir que Lida m’a aidé sans que je le sache à réaliser ce qui était pour moi mon plus grand fantasme m’excite terriblement. Je ne peux cesser d’imaginer la longue queue de mon ami touchant les lèvres pourpres de la chatte poilue de ma femme avant de les écarter et s’enfoncer tout au fond d’elle. Il commence à donner de gros coups de reins qui arrachent des gémissements de ma femme. Il  se cambre pour finalement déverser son sperme tout au fond d’elle…… Il s’intéresse maintenant à la rosette pourpre foncée de son anus et y appuie son gland jusqu’à ce qu’il ait ouvert son passage. Lida mordille ses lèvres, elle doit avoir mal. Le satyre s’enfonce inexorablement jusqu’à ce que ses couilles touchent les fesses de Lida. Les violents coups de reins arrachent des couinements à ma femme avant qu’un énorme jet de sperme chaud inonde son fondement.

 

J’entends la porte s’ouvrir et Lida rentrer. Elle va directement à la chambre.

- Michel, viens j’ai une surprise pour toi.

Elle est en train de se déshabiller rapidement. Elle libère ses magnifiques seins un peu pendants de son soutien-gorge, descend son pantalon et sa culotte en coton blanc. Elle se retourne et se penche vers l’avant en écartant ses cuisses pour me présenter son derrière et sa chatte.

- Tiens regarde, un petit cadeau de Bernard !

Je n’en crois pas mes yeux quand je réalise que sa chatte et son anus souillés de sperme sont encore dilatés et rouges du plaisir qu’elle vient de recevoir.

- Tu aimes ?

- Oui beaucoup !

- Veux-tu me nettoyer avec ta langue ?

Je ne fais pas prier et plonge mon visage entre les fesses de Lida. Le parfum du sexe de Lida s’ajoute à celui du sperme. Je commence à déguster ce nectar d’amour. Le sperme ressort en gros filets de son anus et sa chatte encore béants et coule le long de ses poils et à l’intérieur de ses cuisses. Je m’empresse de tout lécher pour ne rien en perdre et pour finir l’avaler …..

- Viens mon chéri, saute-moi maintenant.

 

 

PS : Si cette histoire vous a plu (ou déplu d’ailleurs), J’invite vos commentaires et réflexions sur le sujet par mail : sunaxxxq@gmail.com

Demain, si vous en manifestez le désir, vous pourrez découvrir en photo toute l'intimité de Lida.

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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