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" Les ardents de la Rue du Bois-Soleil", # 17
Maintenant, je me tenais debout à ses côtés, tout près d’elle, si près que sa tête était à hauteur de mon ventre. J’osai poser une main sur son épaule. J’en tremblais d’émoi. Elle me laissa lui caresser la nuque et lorsque mes doigts descendirent dans l’échancrure de sa robe, elle se tourna légèrement vers moi pour m’ouvrir la route de ses seins libres. Je touchai un mamelon grenu que je roulai maladroitement entre mes doigts fébriles. Malgré le nœud qui ne cessait de m’étreindre l’estomac, je me mis à bander.
Je m’enhardis.
Abandonnant son sein, je m’agenouillai sur le carrelage noir et blanc, juste devant les jambes de Geneviève et je restai là, immobile, à regarder la nudité de ses genoux sous sa robe bleue. Elle comprit ce que j’attendais. D’elle-même, elle saisit des deux mains l’ourlet de sa robe et commença à se retrousser sur sa chaise. Ainsi, j’allais enfin le voir ce ventre que je n’avais fait que palper à l’aveugle lors de la nuit de la Saint Sylvestre !
Mais tout alla trop vite. Il y eut d’abord la peau claire de ses cuisses, de plus en plus haut, de plus en plus blanche… Puis apparut la cotonnade dentelée de sa petite culotte rebondie comme un coussin. Quand la robe fut retroussée sur les hanches, Geneviève écarta généreusement les cuisses et je vis distinctement se dessiner sous le coton blanc la crevasse de sa vulve. L’odeur toute nouvelle du sexe de la femme désirée m’emplit les narines et me plongea dans l’extase. Un friselis de poils d’un noir intégral fleurissait en haut de ses cuisses. Cette vision me parut sur le champ la plus fidèle représentation du paradis terrestre.
Saisissant du bout de l’index droit le bord de sa culotte, Geneviève souleva et écarta le tissu, livrant à mes yeux les plis et replis de son intimité poilue. Je n’eus guère le temps d’en profiter : à ce spectacle, mon regard se troubla et, sans qu’elle eût à me toucher, je me mis à jouir. Je me penchai en avant, posai le visage sur la culotte blanche de Geneviève pendant que mon sperme giclait en cadence dans les chaudes ténèbres de mon slip.
Quand je relevai la tête, elle me regardait avec gravité. Elle prit mon visage dans ses mains et murmura tout bas, si bas que ce fut comme un souffle :
- Ce n’est pas grave. À demain.
Un désastre ! Ce fut le seul mot qui me vint à l’esprit alors que je redescendais les étages, le sexe rabougri englué de sperme, la tête encombrée d’images et de parfums, avec déjà, au creux de l’estomac, la hâte et la crainte du lendemain.
Pendant la soirée et la nuit qui suivirent, je me suçai à plusieurs reprises. La seule évocation de la touffe de Geneviève, de ses cuisses blanches ou de l’odeur de son sexe, suffisait à m’amener au bord de l’éjaculation. Je pensais naïvement qu’il y aurait bien un moment où j’aurais épuisé mes réserves de sperme et où je pourrais bander sans risque de me répandre. Je m’y employai avec conviction.
Hélas, le lendemain après-midi, je connus la même mésaventure que la veille. Enfin presque.
à suivre...