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"Les ardents de la rue du Bois-Soleil", # 39
Ainsi fut fait, mais auparavant il fallut m’enfiler la capote et, à ce petit jeu, Geneviève me parut aussi inexpérimentée que moi. S’étant trompée de sens, elle dut s’y reprendre à deux fois. Heureusement que j’étais trop excité pour débander.
Quand je fus entièrement habillé de latex, elle se releva, retroussa son peignoir sur ses hanches, s’assit au bord du lit, écarta les cuisses et s’ouvrit le sexe à deux mains.
- Tu aimes ça, regarder, hein ? Ça t’excite… Il est trop large, tu ne trouves pas ? Un vrai sexe de vache en saison !
- Non, au contraire, c’est beau !
Entre ses petites lèvres distendues et gonflées de sang sombre, s’étiraient les filaments crémeux de sa mouillure épaisse et gluante comme de la morve. La tête de ma bite de latex s’y posa et, tout naturellement, écarta les nymphes, dilata la vulve qui s’ouvrit et s’enfonça en silence, au plus profond, jusqu’à ce que les poils châtains de mon pubis se mêlent aux poils noirs de sa chatte.
Mes yeux n’en perdaient pas une goutte. Me tenant par les fesses, Geneviève allait et venait sur ma bite, comme si elle se branlait avec mon corps. Elle eut un premier orgasme, violent et grimaçant, mais ne s’arrêta pas pour autant de baiser. Chaque coup de piston de nos sexes emboîtés était maintenant ponctué de gargouillis huileux qui montaient de sa vulve détrempée.
Malgré sa gaine de caoutchouc, mon gland tuméfié fut saisi d’une sorte de vibration continue. Alors, il me sembla que Geneviève s’élargit encore afin de me faire plus de place dans son ventre : mes couilles vinrent cogner sur ses fesses. Je lâchai brusquement les vannes, mon sperme s’élança à l’assaut de son utérus que je devinais prêt à me happer, gueule ouverte. Pour ma première éjaculation dans le vagin d’une femme, je me permis quelques grognements indécents.
à suivre...
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