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"Les ardents de la Rue du Bois-Soleil" # 50
À la suite de notre escapade à M**, il y a eu plusieurs semaines d’embellie pendant lesquelles j’ai cru l’affaire classée, comme on a coutume de dire. Même si Aurélie avait mis sous cadre la photo de classe de la première B du lycée Tocqueville, année scolaire 1963-64, il n’était plus question de tante Geneviève, ni de Tristan Daimler.
Aurélie va bientôt avoir vingt-neuf ans. Ça fait presque cinq années qu’on vit ensemble. On s’est connus à un festival de rock. Elle a un boulot de conseillère dans une boîte d’intérim ; moi, je suis employé de banque, pas au guichet mais dans un bureau, au deuxième étage. Aurélie est brune, enfin plutôt brune. Elle a une peau laiteuse, de petits seins ronds, une grande bouche et de belles dents. Un très beau cul aussi avec un petit papillon tatoué sur le haut de la fesse gauche ! Elle doit mesurer un peu plus d’un mètre soixante, mais je n’ai pas vérifié. C’est comme pour son poids, je n’en ai aucune idée, elle ne se pèse jamais, tout au moins pas en ma présence. De toute façon, elle n’a vraiment pas besoin de se peser ! Nos parents se sont rencontrés deux fois, histoire de faire connaissance ; cependant, il n’a jamais été question de mariage, ni même de fiançailles ou de PACS. Aurélie aime le hard rock genre heavy metal, la cuisine italienne, les séries policières américaines et les bouquins de Fred Vargas. À table, elle ne ferme pas complètement la bouche quand elle mâche. Je n’ai jamais trouvé ça choquant ou mal élevé ; au contraire, je trouve ça excitant. Ça me fait toujours bander de la regarder manger. Je pense que je suis amoureux d’elle.
Ce qui m’a aussi drôlement émoustillé, c’est quand Aurélie a décidé de ne plus s’épiler le pubis. Je l’avais toujours connue avec le sexe rasé de frais. Au bout de trois semaines, elle arborait déjà un beau triangle sombre, d’un brun soutenu, épais en plus. En prime, une pilosité plus secrète ombrait désormais sa raie culière.
- J’en avais marre de mon ventre de gamine, il était grand temps que je me décide à grandir. Je te plais encore comme ça ? On dirait…
Effectivement, je bandais comme un âne. Et comme c’était aussi le jour de l’été et de la fête de la musique, on a inauguré sa nouvelle chatte de femme mûre en baisant face au grand miroir mural de notre chambre, moi allongé sur le dos, elle assise sur mon ventre, les cuisses très écartées comme dans les films pornos… Une position de pros du hard !
à suivre...
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