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Les quatre Sirènes, # 10
C'est lors de ce triste vendredi pluvieux que Pauline me fit entendre pour la première fois la lancinante mélodie de son chant d'amour, une sorte d'hymne au partage, au "vivre ensemble", que je pris d'abord pour une invitation à la convivialité. Je me souviens qu'on a commencé par boire tout en regardant et commentant les photos format 30X40 que j'avais tirées à leur intention. Pauline était ravie : elle se découvrait en noir et blanc, comme étrangère à son propre corps. Après un dîner léger, on s'est retrouvés sur le canapé à visionner un film X que Pauline avait choisi pour me montrer les rôles qu'elle rêvait de jouer devant les caméras. Nous étions assis tous les trois, côte à côte, Pauline au centre, Daniel à sa droite, moi à sa gauche. Elle était vêtue d'une courte robe blanche à pois rouges qui lui arrivait à mi-cuisses. Elle portait des bas noirs. Elle avait posé ses mains sur nos cuisses, si haut que je sentais la chaleur de sa paume qui irradiait mon sexe. Le film n'avait pas été choisi au hasard : il racontait les aventures sexuelles d'une bourgeoise qui s'encanaillait dans une relation à trois - la femme, le mari, l'amant. Il fallait être idiot pour ne pas comprendre le message que Pauline nous adressait : je vous veux tous les deux, rien que pour moi, en même temps. Il en fut ainsi. Cela se fit naturellement. Pauline avait tout prévu jusqu'aux préservatifs et aux mouchoirs en papier en libre service sur la table basse, sans oublier les boissons fraîches.
On s'est très vite retrouvés tous les trois à poil sur le canapé (Pauline, comme dans les films avait néanmons gardé ses bas noirs). Une bite dans chaque main, elle écartait les cuisses pour se faire masser la vulve et caresser le clito par ses deux mecs. On lui tétait aussi les mamelons qu'elle avait très pointus. On ne se parlait pas mais, même muettes, les volontés de Pauline étaient explicites : elle désirait ardemment nos deux bites en simultané, double pénétration vaginale ou une bite dans le con, l'autre dans le cul, exactement comme dans le film qui continuait de défiler sur l'écran de la télé. Daniel et moi, nous avons uni nos forces pour lui donner satisfaction, même si la double vaginale malgré l'étonnante élasticité de sa moule, s'avéra laborieuse. Finalement, au prix d'un agencement acrobatique et précaire, nos deux queues enfin réunies lui ont rempli le vagin jusqu'à la matrice. Comblée, Pauline s'est mise à geindre, mais ce n'était pas de douleur. La bouche ouverte comme en manque d'air, les yeux mi-clos, elle n'écoutait plus que son ventre où coulissaient nos deux bites. Je n'oublierai jamais la sensation toute nouvelle de nos deux membres collés l'un à l'autre, pataugeant dans la mouillure, de nos scrotums poilus qui se caressaient sensuellement. À ce petit jeu, nous ne fûmes pas longs à jouir. Je fus foudroyé par un orgasme d'une grande intensité, un orgasme comme je n'en avais jamais connu, du genre séisme intérieur venu de mes profondeurs inexplorées, avec répliques et tsunami de foutre. Daniel parvint à se retenir un peu plus longtemps, quant à Pauline sa jouissance se prolongea en une sorte de miaulement venu du fond de sa gorge, comme une plainte harmomieuse qui donnait des frissons.
Une fois le film terminé, les ablutions faites et le rhabillage achevé, on s'est promis de se revoir, sans se fixer de date.
à suivre...
(comme on dit dans la pub, les illustrations ne sont pas contractuelles)
Non, ce ne sera pas Samyra. Vous découvrirez la quatrième Sirène dans la dernière série d'articles. Les Sirènes séduisent les hommes dans le but de faire du mal, de les entraîner à leur perte, comme dans l'Odyssée. Samyra ne cherchait pas à faire le mal. Elle désirait juste être libre...
Je suis tout autant curieux de découvrir la suite !
Oui, sans doute, mais inconsciemment