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"Le chant des Sirènes". Mythologie
Les sirènes charmaient les hommes de leurs chants mélodieux pour les entrainer vers une vaste
prairie, couverte des ossements et de chairs desséchées des infortunés marins qui les avaient précédés, et ils y périssaient bientôt.
À partir du Moyen Àge, sans doute au contact des légendes des contrées nordiques, elles furent
représentées en femmes à queue de poisson.
Les Sirènes sont les filles d'Achéloos d'où leur nom d'Achéloïdes (Apollodore); ou de Phorcys (Plutarque). Leur mère, dans la première hypothèse, est tour à tour Stérope, ou Melpomène (Apollodore), Terpsichore (Apollonius), Calliope (Servius), Gaia (Euripide) ou bien selon une légende romaine, les suivantes de Proserpine que Cérès, sa mère, transforma en femmes-oiseaux pour ne pas être intervenues lors de l'enlèvement de sa fille par Pluton.
D'après la tradition suivie par le récit homérique de l'Odyssée, il s'agissait de divinités de la
mer postées à l'entrée du détroit de Sicile, sur une île située entre l’île d’Aea et celle des monstres Charybde et Scylla, mais il existe d'autres lieux de leur séjour comme le cap Pélore, l'île
d'Anthémuse (Anthémoessa), les îles de Sirénuses, ou Caprée.
Par leurs chants au charme irrésistible, elles attiraient les marins et les entraînaient à la mort.
Elles chantaient, paraît-il, des prophéties et des chansons inspirées par l'Hadès, l'Au-Delà.
On en dénombre un nombre variable selon les auteurs; ce nombre monte même jusqu'à huit chez Platon qui ne les nomme pas.
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