Ces photos me rappellent mes premiers émois de candauliste qui s’ignorait. Alors que nous dînions chez des amis autour d’une grande table de ferme j’observais avec agacement les approches appuyées d’un homme d’âge mûr auprès de ma jeune compagne coréenne. Cette dernière habituellement timide et réservée faisait montre d’un engouement et d’une exaltation dans le propos que je ne lui connaissais jusqu’alors pas. A un moment profitant de l’agitation générale et sans savoir au juste ce qui m’avais conduit à cela je me baissais sous la table pour vérifier je ne sais quoi ayant surpris des mouvements et réactions qui me semblaient louches. Et la je vis les jambes de ma douce largement écartées la jupe relevée à son maximum la petite culotte aux abonnés absents la main de son cousin de table fourrageant dans sa chatte épilée sans vergogne, lui même le sexe qui me paru énorme libéré de l’entrave de son caleçon.Je me relevais K.O. et continuais, dégoûté, de surveiller ces deux énergumènes. A un moment ma chérie s’excusa pour sortir de table suivie évidemment de près par notre homme. Je fis de même et ne mis pas longtemps pour me repérer dans cette maison inconnue. Au bout du couloir des chambres des enfants de la maison se trouvait une sorte de salle de jeux à l’encart quoiqu’ouverte sur le fond du palier. Je distinguais alors les 2 tourtereaux d’un soir enlacés les mains de l’homme s’affairant sur ma femme comme s’il s’agissait de la sienne. Je ressentis à la fois une douleur sourde ainsi qu’une érection phénoménale. Ils ne tardèrent pas à se débarrasser de leurs vêtements et des bruits alternés de succion rythmèrent fellation et cunilingus. J’observais à l’ecart le sexe hors norme de l’homme commencer à caresser la vulve de ma chérie. Avant que pouvoir arrêter les choses il s’enfonca en elle en lui plaquant une main sur la bouche. J’étais médusé. Horrifié par le fait qu’il n’ai pas mis de préservatif alors que ma compagne ne prenait aucune contraception et que nous ne connaissions rien de ce type hormis la taille démesurée de son engin qui pilonnait ma femme. Elle semblait en extase proche de la perte de contrôle et de connaissance. Contre toute attente je le vis se contracter en un long gémissement et compris alors qu’il se répandait en elle. Je quittais prestement mon poste d’observation en laissant à Marina le soin de reprendre contenance pour le reste de la soirée. Nous n’avons jamais évoqué ces faits d’armes ensuite même si je vois grandir depuis 3 ans maintenant jour après jour le fruit de
cette obscénité.