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La Meute : J - 20
La vallée des roses, Lucien BODARD ( Editions Grasset, 1977 )
Dans l'Empire du Milieu, la jeune Yi parvient à épouser l'empereur et à s'emparer du
pouvoir.
Page 190
« Hieng-fong ouvre la serrure du coffret et en rabat les panneaux. Là-dedans, Yi discerne une rangée d’objets artistiques. Ce sont des pénis reproduits avec leurs attributs, colonnes auxquelles s’accrochent en bas une boursouflure, une anse à grappes, et qui s’épanouisssent en de puissantes ogives. Elle en compte une douzaine, allant des petites verges jusqu’aux plus énormes lingas. Tous sont ciselés dans les matières les plus précieuses. Tous sont dressés, en une érection éternelle, monuments triomphants de la Virilité.
Hieng-fong choisit parmi eux un instrument à l’aspect repoussant et inexplicable. Il faut quelques instants à Yi pour démêler ce qu’est cette monstruosité : deux phallus mêlés par leur base, mais s’érigeant en sens contraire, tête-bêche, s’opposant en leur conjonction. L’un est superbe, en or rougeoyant. L’autre, au lieu d’être taillé dans une noble substance dure, est fabriqué dans une sorte de gomme, d’une rigidité souple, blanchâtre, d’où s’échappent quantité de lanières et de crochets. Hieng-fong, tenant l’objet ignoble, revient à Yi avec son sourire le meilleur.
- Votre fente abjecte va devenir le terroir où pousseront les racines d’un tronc magnifique qui sortira de vous.
Yi est cette fois saisie par l’effroi car elle ne devine pas l’abjection contenue dans ces mots.
- Prenez la position très laide de la fente la plus ouverte. Et vous vous enfoncerez très soigneusement le membre à l’essence résineuse. Ainsi se plantera-t-il en vous, ses tentacules et ses filaments s’étendront, se fixant et s’accrochant à vos parois internes comme des crampons, des plantes grimpantes. Votre chaleur rendra cette gomme et ses radicelles collantes, sans vous faire aucun mal. Et, cela se fixera en vous telle une plante dans un limon fertile. Il sortira de vous, comme s’il avait germé de vous, comme s’il était vôtre, le magnifique phallus d’or. Alors, vous serez vraiment pareille à un homme. Votre infecte cavité sera heureusement transformée en jardin souterrain, et vous exhiberez dehors le plus superbe engin.(…)
Le saint Homme remet la « chose » à Yi. Très docilement, elle la prend et se met à l’oeuvre, malgré la difficulté. Jambes écartées pour procéder mieux, elle arrive à fixer la pointe phallique, celle qui est poisseuse, contre la niche de sa virginité. Elle la presse contre l’alcôve encore refermée de sa pureté, qui devait conduire au bonheur des salles charnelles de son palais corporel. À ce moment Hieng-fong susurre :
- Faites doucement, car je veux que votre hymen soit déchiré sans saigner. Qu’il cède délicatement, sans pleurer de larmes rouges. Si cela n’était pas, ma contrariété serait grande et pourrait gâcher mon superbe dessein à votre égard.
Alors, quoique l’objet soir lourd et encombrant, Yi s’applique à se déflorer avec une méticulosité extrême. Elle fait pénétrer le bout visqueux avec une grande lenteur. Elle sent qua sa virginité se rompt, petite membrane qui cède heureusement sans que la moindre goutte de sang endeuille son dépucelage (…) Yi continue à faire entrer en elle le penis collant et herbeux de la honte. Sous la pression de ses doigts appuyant fermement en continuellement, les cloisons très resserrées de sa trouée, jamais visitée, s’écartent. Violée par elle-même avec la sensation d’une brûlure aiguë et sourde : parois sèches semblant en proie à un feu consumant plus qu’à un arrachement. L’ustensile avance peu à peu en elle, portant toujours plus loin le foyer enflammé, arrivant au fond d’elle-même.
(Finalement,) le phallus d’or sort d’entre ses jambes comme un superbe fruit. Très puissante colonne émergée de son être. Elle apparaît désormais magnifiquement pourvue de ce qui fait l’orgueil des hommes. Hieng-fong se pâme devant son pilier superbe :
- Buvons, buvons à votre virilité. Votre marécage est devenu votre arc de triomphe. Célébrons et jouissons… «
Et c’est avec ce phallus d’or que Yi va enculer Hieng-fong, le Fils du Ciel. Les dessins hentaï qui illustrent
cet extrait m'ont paru correspondre assez bien à la situation ( même si l'on n'est plus en Chine mais au Japon )
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