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Maxime JAKUBOWSKI, Ma vie chez les femmes ( Editions Blanche )
« Markie, l’assistante bonne à tout, s’approche de Katherine dès qu’on lui ordonne de se mettre à plat ventre, et l’aide à présenter sa croupe sous l’angle le meilleur pour la caméra. On ajuste les lumières. La chaleur des projecteurs lui brûle les fesses. Markie lui éponge doucement le sexe et la raie pour sécher la transpiration et lui passe délicatement de l’huile sur l’orifice, avant d’enduire aussi le pénis de Steve, fièrement tendu à l’attention générale.
Katherine ferme les yeux. Elle n’a jamais été pénétrée par là. Forcée. Baisée. Sodomisée. Elle se rappelle les nuits, à côté de son cocu de mari endormi, alors qu’elle ne rêvait qu’à une chose, au point d’en avoir la corps brûlant : transgresser l’interdit. Son amant avait eu tôt fait de découvrir combien elle était sensible à cet endroit, et ils avaient souvent parlé ensemble de la prendre par là. Après leur rupture, dans ces lettres désespérées qu’il lui écrivait dans l’espoir de la faire revenir, il lui avait révélé qu’il avait gardé pendant des semaines du beurre dans le frigidaire de son bureau exprès pour cela.
Le cadreur fait le point.
« Moteur ! »
Steve introduit un doigt dans son anus pour faire pénétrer l’huile. De l’autre main, il écarte ses deux fesses au maximum et place sa queue dure contre l’orifice en légère saillie. Pression initiale. Les muscles sphincters résistent, Steve ne progresse pas. Il saisit sa tige, en tient le corps serré entre ses doigts et entreprend de forcer l’anus. Son gland avance d’un centimètre, pervient à franchir l’anneau. Katherine a l’impression d’être constipée. Elle serre les dents. Sous l’effet du lubrifiant et à la suite d’une poussée plus brutale, la tête pénètre d’un coup. »
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