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Michel BERNARD, « Les vies de Lilli »
243 pages, Éditions Le Cercle Poche n° 69, 2005
Pages 45 à 47.
Lilli et Édith, sa mère, séjournent ensemble en Grèce. C’est Lilli qui raconte
« Ma mère accepta ma suggestion, pour pouvoir me protéger prétendit-elle, d’aller draguer un homme à Athènes pour faire l’amour à trois. Cet homme, Gino, un Italo-Américain, nous invita dans une garçonnière kitsch que lui prêtait un couple. Il nous ouvrit tout nu, intégralement bronzé, et nous proposa tout de go de nous déshabiller mutuellement. Ce fut vite fait, nous ne portions que des robes légères et pas même un string pour dissimuler tant soit peu nos toisons flamboyantes. Aussitôt, son sourire s’éteignit. « Vous êtes des putes », dit-il, sur ses gardes. Je restai sans voix. Heureusement, ma mère avait de la ressource : « Nous sommes des putes en effet, des call-girls en vacances, et ça ne vous coûtera pas un cent. » Du coup, Gino se sentit mieux et ralluma son sourire. Je l’entendais presque se dire : baiser deux pros à l’œil, un sacré coup de veine ! Il bandait maintenant. Il a dit que j’étais un petit tanagra du tonnerre. « Et moi, la grande, a protesté ma mère, je ne te plais pas ? » Gino a rétorqué que si, bien sûr qu’Édith lui plaisait, ses seins, ses fesses, ses longues jambes, sa longue… « Ma longue fente ? Ma petite sœur aussi en a une fameuse. » L’idée des deux sœurs m’avait ravie. J’en profitais pour flatter la croupe d’Édith tandis que Gino lui pressait les seins tout en lorgnant ma fameuse fente. Bref, l’affaire prenait tournure, je commençais à mouiller, ma mère aussi. Gino s’était mis à nous peloter sérieusement, tâtant nos fesses et nos mottes, nous incitant de la voix à nous léchouiller, nous suçoter, nous masturber, il avait tellement envie de nous voir d’abord baiser toutes les deux que je fourrai soudain ma main dans le con d’Édith qui bava sans retenue. Je ne l’avais jamais vue dans cet était et la branlais de plus en plus vite. Gino, lui, brandissait sa queue, les yeux mi-clos. Comme piquée au vif par ce replis de l’homme derrière ses paupières, Édith se cabra, je retirai ma main et plongeai mon visage dans sa chatte, me gorgeant de ses sucs, me grisant de ses odeurs, tandis que Gino, s’étant assuré d’un doigt que je bâillais entre les fesses, se décida en fin à me bourrer le cul… Après, ce fut la routine. Gino enconna Édith au bord du haut lit campagnard ; je m’assis face à lui, cuisses grandes ouvertes, sur la bouche de ma mère dont je pinçais les mamelons boursouflés ; Gino me débarbouilla la vulve avec sa langue et je sentis celle d’Édith se glisser dans mon anus. Puis Gino déchargea en beuglant, ma mère me mordit le cul, et moi, pour faire bonne mesure, je balançai un amical jet de pisse en plein visage du fouteur –la routine, quoi. Pourtant, ce fut notre unique expérience de cet ordre, je ne saurais dire pourquoi. »
Pour les deux dernières illustrations, vous aurez évidemment reconnu des dessins de Tom Poulton !
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TRES JOLIE CES DESSIN
CA ME DONNE ENVIE DE ME FAIRE BOUFFER LE VAGIN