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Préambule
La nouvelle dont je vous propose l'intégralité a été rédigée au début des années 2000. Elle devait à l'origine être intégrée au second volume de mes nouvelles érotiques à paraître aux Editions Le Cercle. Le premier recueil paru a pour titre "Body Gym". Le recueil composé de 12 textes devait s'intituler "Cortisone Climax". La maladie puis le décès de l'éditeur ont rendu ce projet caduc. Chris est une nouvelle assez longue qui fera l'objet de 12 articles que je mettrai en ligne dans leur continuité. Bonne lecture
Chris, chapitre 1
Les enfants avaient tenu à jouer au facteur… Dans le parc, tous, grands et petits, s’étaient assis sur l’herbe pour former un grand cercle. Le facteur n’est pas passé ! Il passera demain matin, lundi, mardi… Le facteur est-il passé ? Oui ! Le jeu était innocent. Pour la plus grande joie des petits, les adultes se faisaient volontiers distraits afin de se laisser prendre et envoyer en pénitence au centre du cercle.
Il faisait bon. Nous étions au début de l’été, chacun avait ressorti les cotonnades légères. Chris portait une jupe blanche très sage, un tee-shirt brodé rose indien et une paire de sandales à brides blanches. Elle venait d’avoir dix-neuf ans. Elle n’était pas vraiment jolie : elle savait que ses cheveux noirs étaient trop bouclés, son nez trop encombrant, son regard trop globuleux, sa poitrine trop menue. Certes, elle avait une belle bouche, mais cela ne suffisait pas à la consoler. Alors, Chris avait souvent l’air mélancolique et on lui reprochait d’être un peu nunuche, de pleurer pour un rien, d’être sauvage… Pourtant, en ce dimanche après-midi de juillet, elle se sentait presque bien, peut-être à cause des deux coupes de champagne qu’elle avait bues pour fêter sa réussite au bac… Car la réunion de famille avait été organisée en son honneur.
Un gamin lui avait tapé légèrement sur l’épaule. Trop tard ! À quoi rêvait-elle donc ? Maintenant, elle était assise au centre du cercle, de ce tourbillon de rires et de courses maladroites. Elle ne faisait pas attention à moi, alors même que j’étais juste en face d’elle. Je ne comptais pas pour elle. Je n’étais qu’un gamin parmi d’autres, à peine plus grand que les autres ! Mais j’avais quatorze ans et le regard sous sa jupe blanche, entre ses cuisses.
Le soleil qui filtrait à travers le coton de sa jupe diffusait sur sa peau une douce lumière vaporeuse qui atténuait les contrastes. Les jambes nues de Chris en étaient délicieusement hâlées. Sans aucune ombre, la lumière remontait jusqu’en haut de ses cuisses, vers son ventre que la position de son bassin, légèrement tourné sur le côté, m’empêchait de voir. J’aurais voulu devenir simple grillon, pour d’un seul bond me trouver au plus près, accroché à un brin d’herbe sous le vaste chapiteau de sa jupe blanche, à m’enivrer du parfum secret de ses cuisses, à toucher de mes antennes sensibles le grain de sa peau tiède, à regarder avec mes yeux à facettes les mille images défendues de son intimité… Avec ferveur, j’adressais au ciel une muette prière afin qu’elle m’en montrât plus encore.
Et puis, sa pénitence au centre du cercle prit fin : un oncle ventripotent vint prendre sa place. Alors, pour se relever, Chris prit appui sur sa main gauche posée à plat dans l’herbe et se souleva en écartant les pieds. Ce faisant, elle ouvrit les cuisses en grand et me révéla bien involontairement sa beauté cachée. La vision fut brève, mais le souvenir de ce court instant me procure un bonheur sans cesse renouvelé. Car la lumière du soleil de juillet inonda sous sa jupe son bas-ventre habillé d’une culotte de coton immaculé. L’entrejambes formait un épais renflement que je devinai charnu et moelleux ; le triangle du pubis était tout aussi généreux, rebondi comme un petit coussin. De charmants poils noirs lui frisottaient sur l’intérieur des cuisses, tout là-haut, aux abords dentelés de sa culotte blanche. Je n’avais jamais rien vu d’aussi excitant que ce friselis de pilosités indécentes. J’en conçus sur le champ une passion inconsidérée pour la chatte de Chris et pour les femmes à grosses touffes en général. Ce jour-là, j’en fus quitte pour une bonne érection et quelques giclées de sperme dans mon short devenu douloureusement trop étroit.
Malheureusement, je n’eus plus jamais l’occasion de revoir Chris, ni ses bouclettes indiscrètes. Néanmoins, à l’aide de témoignages de certaines personnes l’ayant plus ou moins connue, j’ai pu reconstituer quelques étapes de l’itinéraire insolite de sa vie de femme. Les voici :
à suivre....
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