Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 261 à 264
Je n'aime pas, au bal, la jeune fille étrange
Qui murmure :" Enculez ma gousse, on vous attend.
Votre foutre lui donne un petit goût d'orange
Au trou du cul. Faut-il qu'on vous en dise tant ? "
Je n'aime pas à voir qu'un jeune homme se vautre
Sur ses deux sœurs et prenne un plaisir toujours neuf
À foutre l'une et l'autre en cul l'une sur l'autre
Sitôt qu'elles se font un peu soixante-neuf.
Je n'aime pas à voir la lycéenne exclue
Répondre au prfesseur en passant devant lui :
" Je ne me branle pas, monsieur, je me pollue.
Je vais recommencer dehors, mais j'ai joui."
Je n'aime pas à voir cette rue de virgule
Où chambres, mastroquets, trottoirs, bordels, balcons
Sont exclusivement aux filles qu'on encule
Et qui font de leurs culs des espèces de cons.
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