Pierre Louÿs, "Pybrac". Quatrains 297 à 300
Je n'aime pas qu'un homme écrive, même en prose,
" L'art d'enculer sa fille à huit ans comme à vingt
Dressage au casse-noix comme aux feuilles de rose,
Avec l'art d'avaler le foutre, pour la fin."
je n'aime pas qu'un soir une vierge m'assure :
" Tout le monde au château m'encule excepté vous. "
Ni qu'à mes premier mots sur l'Enfer, la Luxure,
Elle crie à mourir de rire : " Je m'en fous !"
Je n'aime pas qu'Eva, gamine pénitente,
Confesse : " On couche à poil. C'est mon petit frangin
Qui l'a toujours en l'air et que j'y sers de tante."
Quand le curé lui demande : " Par le vagin ?"
Je n'aime pas que, nu sur ses deux sœurs obscènes,
Un bel adolescent qui dit avec douceur :
"Retire-toi, maman, tu gueules, tu nous gênes,
J'ai pas besoin de toi pour enculer ma sœur."
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