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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Comme son étymologie l'indique, la pygophilie est l'amour inconsidéré des grosses fesses (du grec "puguê", fesse et du suffixe "philo" aimer). Si l'on en croit les statuettes en terre cuite retrouvées dans les fouilles archéologiques, le fantasme du beau fessier féminin, puissamment érotique et prometteur de fécondité, semble aussi vieux que l'humanité.
Si vous êtes un lecteur assidu du blog, vous n'avez pas été sans feuilleter les deux albums, "Venus callipyges" et "Hentaï" où l'on peut souvent contempler d'imposants fessiers. Certains artistes en ont même fait leur "marque de fabrique", je pense particulièment à Gustave Courbet avec ses "Baigneuses" ou Peter Fendi...
D'après son étymologie même, le mot désigne plutôt l'attirance pour les fesses en général, pas pour les grosses fesses en particulier.
De la même manière, callipyge, du grec kallos, "beauté", et "pugê," fesse", désigne de belles fesses, pas spécialement de grosses fesses. La beauté étant subjective, chacun aura évidemment son appréciation propre de ce qu'est un beau postérieur. Mais l'usage de ce mot proprement destiné à désigner exclusivement de grosses fesses est en vérité détourné de son sens originel et appartient, selon le Larousse, mon dictionnaire de référence, au registre de la plaisanterie.