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Souvenir n° 2
Pendant presque un trimestre de l'année scolaire 1974-1975, je me suis retrouvé à remplacer une prof de français dans une classe de CPA (classe préparatoire à l'apprentissage) composée d'une petite quinzaine d'élèves de 15-16 ans qui alternaient formation en entreprise et cours au collège. Plus de garçons que de filles. Dans le fond de la classe, seule à sa table, derrière les autres, s'installait toujours une fille à lunettes, cheveux frisés, très timide dont je n'entendais quasiment jamais le son de la voix, répondant par monosyllabes à mes questions. Je ne faisais pas spécialement attention à elle jusqu'au jour où assis au bureau pendant que les élèves faisaient un exercice, je me suis rendu compte que cette fille penchée sur sa feuille avait la main gauche sous la table. J'ai d'abord pensé qu'elle cherchait à tricher, puis en l'observant plus attentivement, j'ai constaté que son bras glissé sous la table était comme agité de tremblements... Sans éveiller ses soupçons, je me suis arrangé pour voir ce qui se tramait. La main sous sa jupe écossaise, elle se branlait énergiquement. Aucun doute là dessus ! Je l'ai regardée faire... Quand elle a joui, ses joues se sont empourprées et elle a serré les cuisses sur sa main... Quelques minutes de répit, puis elle a repris sa masturbation. Je me suis levé pour passer en revue la progression du travail des élèves. Quand je suis arrivé à la hauteur de la fille, penché au-dessus d'elle, j'ai aperçu son avant-bras glissé dans sa ceinture. Elle s'est immobilisée. J'ai fait semblant de vérifier son travail :
- C'est bien, continue comme ça !
Quand je suis revenu au bureau, elle avait recommencé à se branler. Au fil des jours et de semaines, je me suis rendu compte qu'elle se branlait systématiquement pendant le cours, et qu'elle jouissait deux à trois fois par heure. Quand j'ai demandé à ses autres profs s'ils avaient remarqué un comportement étrange de la part de cette élève, ils m'ont tous répondu que non, que tout était normal...
Je suis aujourd'hui persuadé qu'elle était parfaitement consciente que je savais ce qu'elle faisait en cours et que cela l'excitait au plus haut point. La preuve, c'est qu'à la fin de ma mission, elle continuait de se branler quand je me penchais au-dessus d'elle pour contrôler ou corriger son travail.
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