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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
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"Symphonie en sous-sol", chapitre 8
8 ) Le reste de la bande se resserre autour de moi. J’appréhende ce qui m’attend. Je suis toujours en levrette la croupe offerte. Je me souviens de plusieurs mains me palpant violemment les fesses et les seins, une grosse queue noire forçant ma bouche pour y déverser un torrent de foutre alors que derrière moi les queues se succédaient pour inonder mon cul et ma chatte. Puis ils se calment, je commence à espérer que c’est fini car je suis épuisée. Je réalise que je me suis trompée quand je sens plusieurs doigts s’enfoncer dans mon anus. Le foutre que je viens de recevoir lui rend la tâche facile. La pression est de plus en plus forte. Je comprends rapidement que le monstre qui est derrière moi essaye de me fister….
- Non, Non, Arrête tu vas me déchirer !
Mes protestations n’y font rien. Je ne peux que subir et me laisser faire. Plus tôt cela sera terminé, mieux je serai.
-Salope, écarte bien tes grosses fesses de bourge et pousse pour ouvrir ton cul, tu auras moins mal !
Je m’exécute, attrape mes fesses et les ouvre au maximum. Je ne peux le croire mais je sens mes sphincters s’ouvrir sous la pression de l’intrus. Sa main glisse toute entière en moi jusqu’au poignet. Plusieurs spasmes partis de mon ventre secouent mon corps, ma tête tourne, je me sens partir……
Nous rentrons sur Paris. Je rentre sans culotte ni soutien-gorge car les garçons me les ont confisqués pour les ajouter à leur trophées. Tous mes orifices, mes seins, mes fesses sont encore souillés de leur foutre car je n’ai pu me doucher avant de partir.
Michel très calmement me demande :
- Comment te sens-tu ? C’était bon ?
- Je suis épuisée, mon corps me fait mal, mais j’ai aimé.
- Et toi ? As-tu aimé bien que tu n’aies pas vu grand-chose ?
- Oui j’ai beaucoup aimé. En fait ils m’ont laissé rentrer quand Rachid a commencé à te déshabiller.
- Tu veux les revoir ?
- Oui peut-être…..
FIN
© Lida, juillet 2017
PS : Nous ne pratiquons Michel et moi que le sexe protégé, c’est-à-dire avec des préservatifs, malheureusement, et c’est ce qui s’est passé lors de cette aventure même si j’aurais bien aimé sentir le foutre chaud de mes amants dans mon ventre comme dans l’histoire.
PS : Je recevrai vos commentaires avec grand plaisir !
Sentir cette main me pénétrer !
Aline qui mouille !
Merci pour ce
beau texte !
merci. Le prochain arrive! Rendez-vous le 25 octobre pour le premier chapitre
Dans la cité, la contribution des blanchettes est obligatoire, ma femme tourne tous les week end avec sa gamine dans les caves, du hard crade sans modération