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Une mère modèle…
À quarante-trois ans, Sofia donnait toutes les apparences du bonheur : mariée depuis huit années à Sébastien, elle était maman de deux adorables garçons âgés de six et quatre ans. La petite famille habitait un bel appartement dans un quartier résidentiel, partait régulièrement en week-end dans la résidence secondaire du Sud Bretagne et, chaque année, au plus fort de la froidure de l’hiver, le couple s’offrait un séjour de deux semaines dans un archipel de l’Océan Indien, sous le soleil du tropique du Capricorne…
Afin de se consacrer en priorité à ses enfants, Sofia avait provisoirement cessé toute activité professionnelle. Désormais, ses journées étaient partagées entre tâches domestiques, obligations maternelles et vie associative…
- Assemblée trimestrielle de l’Association de Parents d’Elèves.
Compte tenu de son expérience professionnelle, Sofia avait été élue trésorière de l’association. À ce titre, elle était chargée de collecter les cotisations et de veiller au bon usage des subventions. Le bureau se réunissait quatre fois l’an, au domicile personnel du président. Il s’appelait Alexandre Verdier. C’était un bel homme d’une cinquantaine d’années. Divorcé, il avait obtenu la garde exclusive de son fils unique âgé de 8 ans – il se disait que l’épouse infidèle était partie vivre sa vie à l’étranger. Malgré les boissons fraîches et les petits gâteaux, les réunions du bureau n’avaient rien de vraiment réjouissant : une dizaine de personnes sérieuses et compassées qui parlaient financement de voyages scolaires, allégement des cartables, garderie du soir ou actions à entreprendre contre les menaces de fermeture de classes…
On était un mardi de février, dans l’après-midi. Sofia venait de présenter le bilan financier de l’année précédente : adopté à l’unanimité. Mais, vers 16 heures, au moment de se séparer, le président avait retenu Sofia par le bras.
- Excusez-moi, madame T*, pouvez-vous m’accorder quelques instants, juste le temps de régler un petit problème…
Dès que les autres membres du bureau eurent quitté l’appartement, il tira le verrou et rejoignit Sofia restée au salon.
- Voyez-vous, la semaine dernière, je suis passé à la banque et j’ai demandé à consulter le relevé des opérations bancaires de notre association, commença-t-il en sortant de sa poche une feuille qu’il déplia.
Sofia sentit ses jambes fléchir, son cœur s’arrêter, son sang refluer…
- Tout serait parfait si, à la mi-décembre, le compte n’avait été débité d’un montant de 262 €, puis recrédité de la même somme deux semaines plus tard…
- Une erreur de la banque, articula péniblement Sofia.
- Je ne crois pas. Il s’agissait d’un chèque libellé à l’ordre d’une boutique de lingerie haut de gamme, et signé de votre main. En voici une photocopie… Je me trompe ?
Sofia avait la bouche sèche. Maladroitement, elle tenta d’expliquer comment, dans la précipitation, au moment de payer, elle avait confondu son propre chéquier avec celui de l’association. À la réception du relevé de fin de mois, elle s’était rendu compte de son erreur qu’elle avait aussitôt réparée…
- Même si ce que vous dites est vrai, il ne faudrait pas que la chose s’ébruite. On pourrait vous soupçonner d’indélicatesse. Surtout si on apprend que c’était pour vous offrir des frivolités ! Cela pourrait vous nuire, à vous personnellement, mais aussi à votre entourage…
Après un long silence, Alexandre Verdier reprit, mais sur un autre ton.
- Vous en portez aujourd’hui ?
Sofia parut ne pas comprendre.
- Porter quoi ?
- De la lingerie fine.
Malgré elle, Sofia se sentit rougir jusqu’aux oreilles. Elle baissa la tête.
- Oui, souffla-t-elle.
- Montrez-moi ça ! Vous m’avez entendu ? Déshabillez-vous, là, maintenant ! Je crois que vous n’avez guère le choix.
Il s’installa confortablement dans un fauteuil pour ne rien perdre du spectacle. Sofia se souvint d’une soirée en Sologne, une dizaine d’années auparavant, quand elle avait dû se mettre nue devant l’assemblée des chasseurs. Pour se dévêtir, elle retrouva les mêmes gestes de fausse pudeur. Quand elle fut en soutien-gorge et petite culotte, Alexandre Verdier l’arrêta d’un geste.
- Vous ne portez pas de bas ? Je suis un peu déçu. Je m’attendais à mieux de votre part… Car vous êtes un peu putain, n’est-ce pas ?
- Je ne sais pas, Monsieur Verdier.
- Appelez-moi Président. Approchez-vous que je voie de plus près cette lingerie. C’est la dentelle qui coûte si cher, ou alors ces transparences qui laissent voir votre chatte ? Ecartez les cuisses. Souhaitez-vous que je vous branle ?
- C’est comme vous voulez, Président.
Il écarta le tissu blanc et lui glissa ses doigts dans la fente, chercha le clitoris, le caressa de l’index en tournant doucement autour. Sofia se mit à mouiller. Il aventura son pouce dans le vagin, Sofia plia un peu les genoux pour se l’enfoncer plus profondément et soupira de plaisir.
Lorsqu’il sortit son engin, elle comprit, au premier coup d’œil, pourquoi son épouse avait pris le large : bien qu’en pleine érection, le Président avait une petite bite. Une bite courte, menue, qui paraissait vraiment ridicule entre ses doigts. Sofia réussit néanmoins à contenir son fou rire et à se laisser limer et branler par la main douce et chaude du Président. Sans doute n’avait-il pas approché de femme depuis longtemps car il ne fut pas long à jouir. Si la bite était plus que modeste, le sperme fut abondant : il en envoya sur son pantalon, sur les cuisses nues de Sofia, sur le tapis. Ça giclait par à-coups, comme un geyser islandais.
Quand tout fut terminé, le Président prit sans tarder la direction de la salle de bain. Sofia se rhabilla et quitta l’appartement. Il était 16h30, l’heure d’aller récupérer les enfants à la sortie de l’école.
à suivre...
© Michel Koppera, août 2010
peter