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- L’anniversaire des enfants
Chaque année, un mercredi après-midi du mois de mai, Sofia et Sébastien invitaient les camarades de classe à fêter les anniversaires de leurs fils au cours d’un goûter en plein air. C’était aussi l’occasion pour les parents de se rencontrer ailleurs que devant la grille de l’école. Sébastien qui détestait ce genre de fête en déléguait volontiers toute l’organisation à Sofia. Ce fut ainsi qu’elle fit la connaissance d’un couple récemment installé en France, parents d’une petite Malika dont l’aîné de ses fils était tombé éperdument amoureux.
Ils arrivaient d’Allemagne. Elle se prénommait Ulka et lui Hans, elle très blonde, lui grand et châtain. Tous les deux la quarantaine. Le courant passa si bien que dès la fin de l’après-midi, Sofia était invitée à une sorte de garden-party qu’ils organisaient la semaine suivante pour fêter les six ans de Malika. Comme de bien entendu, Sébastien prétexta une réunion importante pour échapper à cette corvée ; ce fut donc seule avec ses deux enfants que Sofia se rendit à l’invitation.
Ulka et Hans venaient de s’installer dans une demeure de la banlieue ouest : maison de maître, parc aux arbres plus que centenaires, domestiques… Alors que les enfants étaient pris en charge par des professionnels de l’animation qui leur proposaient jeux et petits spectacles, les parents se réunirent dans le salon de la maison où on leur servit champagne, petits fours et autres amuse-gueules de traiteur. Sofia se laissa doucement griser par le luxe et le Mumm. Tant et si bien qu’en milieu d’après-midi, elle se retrouva seule en compagnie d’une jeune tante de Malika. Aussi blonde que sa sœur, la tante se prénommait Alix et parlait avec un fort accent germanique, d’une voix rauque chargée de sensualité et de mystère. Voyant Sofia bâiller, elle lui proposa de se reposer dans une chambre d’amis en attendant la fin de la fête qui était prévue pour 19 heures. Sofia se laissa convaincre et la suivit au premier étage jusque dans une belle chambre aux volets clos.
Quand elle se réveilla, Sofia était couchée sur le dos, le corps en étoile, solidement attachée par les poignets et les chevilles aux barreaux du lit. On lui avait glissé un coussin sous les fesses de telle sorte que son corps dessinait une courbe convexe dont son mont de Vénus était le sommet. On lui avait ôté tous ses vêtements, à l’exception de sa petite culotte de dentelle blanche. Assise dans un fauteuil, près de la fenêtre aux rideaux tirés, Alix l’observait tout en fumant tranquillement une cigarette.
- Vous vous êtes un peu endormie, lui dit-elle de sa voix rocailleuse. Mais rassurez-vous, il n’est pas tard. La fête n’est pas près de prendre fin. Ne soyez pas inquiète pour vos enfants, ils passent un après-midi merveilleux, et c’est l’essentiel, n’est-ce pas ?
Sofia encore dans les limbes du sommeil et de l’ivresse ne réalisait pas vraiment l’étrangeté de sa situation. Alix poursuivit :
- Je me suis permis de vous dévêtir et de vous attacher… Ce sera plus… comment dire… confortable.
- Comment ça ?
Alix écrasa sa cigarette, se leva et vint s’asseoir au bord du lit.
- Mais pour jouer, ma chérie. Vous n’aimez pas jouer ? Ça m’étonnerait. Une femme qui a le sexe aussi nu et lisse que celui d’une petite fille ne pense qu’à s’amuser. Vous n’êtes pas de mon avis ?
Alix posa sa main sur le sein gauche de Sofia, lui saisit le mamelon et le roula sans ménagement entre le pouce et l’index tout en guettant son visage.
- J’en étais sûre, dit-elle en la lâchant, vous êtes une joueuse. Puisque c’est ça, je vais vous montrer quelque chose.
Alix alla se poster au centre de la chambre où elle commença à ôter ses vêtements. D’abord son chemiser blanc qu’elle déboutonna rapidement, puis son soutien-gorge qui libéra une poitrine ronde, presque parfaite. Tournant le dos à Sofia, elle défit la ceinture de sa jupe bleu marine qu’elle fit glisser à ses pieds. Elle resta ainsi quelques instants immobile, comme pour donner tout le temps à Sofia de regarder son fessier musculeux, ses longues jambes. Et brusquement, elle fit demi-tour et se présenta de face, les mains sur les hanches, en string trop étroit pour contenir la paire de couilles et la belle bite en érection qui débordaient le voile de tissu blanc.
Sofia en frémit, autant de peur que d’excitation. Certes elle avait déjà vu des travestis dans des films pornos – elle se souvenait qu’à chaque fois elle en avait éprouvé une certaine gêne mêlée de fascination – mais cette fois, c’était en chair et en os, tout près, à portée de main si elle avait été libre de ses mouvements. Son regard allait du visage androgyne d’Alix à sa poitrine arrogante, puis revenait sans cesse se poser sur son sexe dressé.
- Ça a l’air de vous faire de l’effet, dit Alix en passant deux doigts dans la culotte étroite de Sofia. Vous mouillez déjà ?
Alix écarta le tissu, sépara les petites lèvres pour faire bâiller le con et pinça le clitoris entre deux ongles acérés. Une flèche de douleur traversa le ventre de Sofia et lui arracha un cri.
- Du calme, voyons ! chuchota Alix en posant sa main libre sur la bouche de Sofia. Vous n’allez pas me faire croire que vous êtes douillette à ce point… Je vous ai à peine touchée !
Sans lui lâcher le clitoris, Alix enfourcha le corps entravé de Sofia et lui présenta sa queue au bord des lèvres
- Sucez-moi. Ce n’est pas une invitation, mais un ordre...
Sofia ne se fit guère prier. Et pendant que sa bite allait et venait dans la bouche de Sofia, Alix se frottait les seins contre son ventre nu, lui triturait le clitoris et la vulve, alternant les caresses, les frottements et les pinçons plus ou moins agacés. Sofia en dégoulinait de désir. Plus tard, Alix s’accroupit au-dessus du visage de Sofia et lui donna son cul à lécher. Celle-ci s’en acquitta avec tant d’ardeur et de talent qu’Alix lui éjacula sur les seins en grognant.
Ensuite, il y eut d’autres jeux où Alix lécha le con de Sofia, lui mordilla les tétons, lui enfonça quatre doigts dans le vagin et le pouce dans le cul, lui offrit ses seins à téter, l’embrassa avec chaleur, lui fit jurer de garder le secret et lui jouit une seconde fois sur le ventre en émoi.
À dix-neuf heures, Sofia retrouva ses enfants en train d’achever de se gaver de sucreries devant une débauche de gâteaux, de confiseries et de sodas. Elle les gronda un peu et leur prodigua, sans grande conviction, ses habituels conseils de sagesse et de modération.
à suivre... ( une démonstration-vente à domicile)
© Michel Koppera, août 2010
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