Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
ZOOM n° 103 ( décembre 1983 ?)
- Photo de couverture réalisée par Jacques ALEXANDRE
- Illustration promotionnelle de FRAZETTA à l’occasion de la sortie d’un nouvel album « Fascination »
- Dessin de Jean COCTEAU, au trait toujours « puissant »
- Long dossier consacré à l’illustrateur Pierre JOUBERT ( né en 1910 à Paris et décédé en 2002 à La Rochelle) À 17 ans, il entre comme dessinateur à L’Illustration. En 1934, il se met à travailler pour le journal Scout. En 1936, « Le bracelet de vermeil » (écrit par Serge Dalens) ouvre la tétralogie du Prince Eric dont P. Joubert sera l’illustrateur. Difficile aujourd’hui d’ignorer le côté sexuel de ces dessins : les amitiés sont viriles, les gestes et les poses parfois sans ambiguïté ( voir l’illustration du Relais de la Chance au Roy)
Et puis, même s'il s'en défendait, il y a cette fascination troublante et plus que dérangeante pour la force et la violence. Voyez le dessin du calendrier : cela ne vous rappelle rien ? Et si au sommet du porte-oriflame on remplaçait cette croix à fleur de lys par une autre, gammée par exemple ! Ou par une faucille et un marteau… Cela fonctionnerait tout autant…
L’émigrant ( Ruban noir, 1959)
Dessin de couverture pour le Prince Eric
Vignette pour le Prince Eric
- Trois photographies de Jacques ALEXANDRE ( né en 1944 en France, installé à Cologne en 1966)
- Franck HORVAT ( né en Italie en 1928) revisite les grands classiques de la peinture. « Je me permettrai de prévenir le spectateur du danger d’une fausse piste : les ressemblances avec des toiles célèbres ne sont qu’un prétexte, un abri proposé aux modèles pour leur permettre de mieux ressembler à elles-mêmes » Voilà qui est dit !
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